Les 5 meilleurs business à commencer

E-commerce, SMMA, coaching, affiliation, Amazon… Vous en avez assez de ne pas savoir quel business choisir parmi toutes ces options ?

Ne vous laissez pas tromper par les promesses d’opportunités du siècle ou les discours sur les business models prétendument saturés. Voyons cinq business models différents qui vous permettront de générer plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d’euros en quelques semaines, même si vous partez de zéro.

On ne parle pas ici de business models où il faut lever des fonds, sacrifier la moitié de votre entreprise pour finalement se retrouver avec un taux d’échec de 99% en moins de 2 ans.

Voici plutôt cinq business models qui permettent de démarrer avec quasi zéro investissement, avec très peu de risque, et que vous pouvez opérer d’où vous voulez avec un niveau de liberté hors norme.

L’objectif est aussi que vous puissiez trouver le business model qui vous correspond le mieux. Surtout, arrêtez de perdre des semaines entières à chercher le business miracle.

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Les différences entre une entreprise traditionnelle et les business models

entreprise

Avant de vous dévoiler ces cinq business models, faisons un comparatif entre une entreprise traditionnelle et ces cinq business models.

  • L’investissement

Pour une entreprise traditionnelle, l’investissement est en général très élevé. Cela peut aller de 100,000 € jusqu’à plusieurs millions d’euros.

Dans les business models, l’investissement est quasi nul, ce qui permet de démarrer immédiatement.

  • Risques

Dans une entreprise traditionnelle, les risques sont très élevés, et la raison en est simple : il y a beaucoup d’investissement, et il est difficile de faire évoluer le business.

Dans les business models qui vont suivre, les risques sont quasi inexistants. Vous ne risquez pas grand-chose.

  • Liberté et flexibilité

Aussi, dans une entreprise traditionnelle, le niveau de liberté et de flexibilité est très bas. Alors que dans ces cinq business models, le niveau de liberté et de flexibilité est très élevé. Vous pouvez opérer de n’importe où dans le monde.

  • Simplicité de lancement et d’opération

Dans une entreprise traditionnelle, il est compliqué de se lancer et d’opérer. À l’opposé, vous découvrirez que c’est extrêmement simple et rapide à lancer.

  • Retour sur investissement (ROI)

Dans une entreprise traditionnelle, le retour sur investissement est souvent très long. Cela peut durer de 2 à 5 ans avec beaucoup d’argent investi. Dans ces business models, le retour sur investissement est extrêmement rapide.

  • Gestion administrative

Aussi, dans une entreprise traditionnelle, il y a beaucoup d’administratif, sans compter les stocks à gérer, et cela peut devenir un véritable casse-tête. Alors que dans ces business models, l’administratif est léger voire quasi inexistant.

  • Résilience en période de crise de lancement et d’opération

Finalement, une entreprise traditionnelle est très touchée en période de crise, ce qui n’est pas idéal. En revanche, ces business models sont anti-crise. Parfois même, une crise peut accélérer ces business models.

  • Durabilité et pertinence

Les business models ont très bien fonctionné ces cinq dernières années et continueront de fonctionner extrêmement bien dans les cinq prochaines années. Ils s’appuient sur des besoins forts et universels.

Premier business model : le coaching

coaching

Le coaching est actuellement le deuxième marché à la croissance la plus rapide au monde. Cette expansion fulgurante s’explique par son efficacité : les gens constatent l’impact significatif du coaching dans leur vie et le recommandent volontiers à leur entourage. C’est pourquoi le secteur est en plein essor.

Le coaching présente de nombreux avantages : il implique presque zéro risque, nécessite un investissement minimal et repose sur une structure simple et flexible. Ce business model offre également une liberté exceptionnelle en termes de temps et de lieu. En plus d’être lucratif et résilient en période de crise, le coaching est profondément gratifiant. Il permet d’impacter positivement la vie des gens, ce qui est une source immense de satisfaction.

Par exemple, je suis coach depuis plus de 11 ans et je trouve que c’est le plus beau métier du monde.

Pour qui est fait le coaching ?
Le coaching est fait pour les personnes qui aiment le développement personnel, la psychologie, éventuellement la PNL, mais surtout pour celles qui aiment aider les gens et qui ont un grand besoin de flexibilité et de liberté.

Pour démarrer dans le coaching, il est crucial de trouver une excellente formation et de vous former sérieusement au coaching. Beaucoup de personnes se lancent dans ce domaine sans comprendre la différence entre conseil et coaching. Le coaching ne se résume pas à donner des conseils ; il consiste à poser les bonnes questions et à suivre un processus et une méthode efficaces pour aider la personne à comprendre ses blocages et ses limites.

Le coaching vise à donner plus de clarté, augmenter le niveau de confiance et la capacité à passer à l’action. Cela ne s’improvise pas, il est essentiel de se former pour réussir dans ce domaine. En plus d’être lucratif et résilient en période de crise, le coaching offre une structure simple et flexible avec presque zéro risque et un investissement minimal.

C’est la raison pour laquelle j’ai créé ma formation Excellence Coaching Academy. Nous avons formé plus de 700 coachs d’excellence. Chaque personne ayant suivi cette formation a non seulement fait un saut quantique dans son développement personnel, mais est aussi capable d’accompagner une personne à transformer sa vie et atteindre ses objectifs.

La priorité est donc de suivre une excellente formation. Sinon, il sera très compliqué de gagner votre vie dans le coaching, car vous ne serez pas capable de générer des résultats.

Si les gens viennent à votre coaching et ne voient pas de progrès, ils ne seront pas satisfaits, ne reviendront pas et ne vous recommanderont pas. En revanche, si vous faites un bon travail et obtenez d’excellents résultats, les gens transformeront leur vie et vous recommanderont, tout en continuant à travailler avec vous.

Ensuite, vous devez trouver votre niche. Comme dans tout business, il y a tellement de niches différentes. Vous devez vous démarquer dans une niche spécifique.

Par exemple, vous aurez beaucoup plus de chances de succès en vous spécialisant dans une niche comme celle des femmes enceintes à deux mois de leur accouchement. Vous les aiderez à travailler leur psychologie, à méditer, à se relaxer, à manger sainement, à se préparer mentalement pour un accouchement le plus sain, agréable et le moins douloureux possible, tout en établissant une connexion maximale avec leur enfant. Cela marchera beaucoup mieux que d’être simplement un coach de vie généraliste. Plus vous êtes spécifique, plus vous avez de chances de réussir.

Plus vous êtes général, moins ça marche.

Plus vous êtes spécifique, plus vous avez de chances de réussir.

Une fois que vous avez suivi une excellente formation et que vous avez choisi votre niche, il faut faire une liste de 200 personnes.

Pourquoi une liste de 200 personnes ?
Imaginez ceci : vous connaissez au strict minimum 200 personnes. Pour en être sûr, regardez simplement votre téléphone et votre liste de contacts. Il est fort probable que vous ayez des centaines de contacts déjà enregistrés.

Lorsque vous débutez dans le coaching, il est essentiel de comprendre que chacune de ces 200 personnes connaît également environ 200 autres personnes. Cela signifie que votre réseau potentiel s’étend à 40 000 personnes. En ayant accès à un vivier aussi vaste, il vous suffit de trouver 20, 30 ou 40 clients pour démarrer.

Après avoir dressé cette liste de 200 personnes, la prochaine étape est de les appeler. Une erreur courante est de tenter de vendre directement votre offre de coaching à la personne. Ce n’est pas la bonne approche. Au lieu de cela, appelez simplement et posez la question : “Bonjour, comment ça va ? Qui connaissez-vous qui pourrait être intéressé par mon offre de coaching ?”

Si la personne s’identifie à votre offre, elle dira naturellement : “Cela m’intéresse, comment ça fonctionne ? Quel est le tarif ?” Si elle ne s’y identifie pas, elle pourrait vous recommander à quelqu’un d’autre. Essayer de vendre directement risque souvent de rebuter la personne, ce qui peut affecter vos relations personnelles.

De plus, si elle ne vous recommande pas, cela signifie que vous perdrez l’accès à ce réseau potentiel de 40 000 personnes.

Au lieu de tenter de vendre directement à ces 200 personnes, ce qui limiterait considérablement vos opportunités, adoptez plutôt l’approche du “Qui connais-tu ?”.

Plus votre spécialisation est précise, mieux cela fonctionne.

Par exemple, dire “Je suis coach de vie” est vague et peu incitatif pour une recommandation. En revanche, si vous dites : “J’aide les adolescents à naviguer à travers les défis de l’adolescence pour trouver épanouissement et bonheur”, il sera plus facile pour quelqu’un de penser à une personne spécifique qui pourrait bénéficier de votre coaching.

Le potentiel de clientèle est pratiquement illimité parmi ces 40 000 contacts potentiels. Il vous suffit de trouver 10 clients. Pensez-vous pouvoir en trouver 10 parmi 40 000 personnes ? Supposons que vous trouviez 10 clients, chacun payant 300 € par mois.

Si vous facturez 300 € par mois pour deux séances mensuelles, soit une toutes les deux semaines (ce qui est recommandé par Max), avec 10 clients, vous générerez 3 000 € par mois pour environ 20 heures de travail mensuel. Cela équivaut à 5 heures par semaine, vous rapportant ainsi 3 000 € par mois.

Cinq heures par semaine pour 3 000 € par mois.

Non seulement vous transformez la vie des autres, mais vous accédez également à une liberté incroyable : du temps avec vos enfants, la possibilité de voyager, et la flexibilité de travailler de chez vous ou de n’importe où, tant que vous avez les compétences pour aider les gens à surmonter leurs limitations, à agir, à renforcer leur confiance en eux et à clarifier leurs objectifs.

La demande pour le coaching est immense. Si vous souhaitez augmenter vos revenus, vous pouvez passer de 5 heures par semaine à 10 heures par semaine, ce qui représenterait 6 000 € par mois.

Certains de mes étudiants à l’Excellence Coaching Academy gagnent désormais 15 000 €, 20 000 € voire 30 000 € par mois.

Bien sûr, tout le monde n’atteint pas ces chiffres, mais même gagner un supplément de 1 000 € à 2 000 € par mois peut faire une grande différence. Vous pouvez donc voir le potentiel qui vous attend. Ce n’est pas magique, mais c’est tout à fait réalisable.

C’est pourquoi je vous recommande vivement de considérer sérieusement le coaching, surtout si vous êtes passionné par la psychologie, le développement personnel, et que vous aimez aider les autres tout en recherchant une liberté significative.

Le coaching est une profession à prendre au sérieux. On ne devient pas coach du jour au lendemain. Par exemple, il est peu crédible qu’une personne de 21 ans se déclare experte en conseils pour une relation de couple alors qu’elle est célibataire et sans expérience de vie.

Évitez cela à tout prix.

Investissez sérieusement dans une méthode solide et auprès d’un mentor éprouvé. Cela renforcera votre crédibilité et vous guidera dans vos actions. Devenir coach est une démarche professionnelle sérieuse qui implique des échanges profonds avec les autres. Ne prenez pas cela à la légère. Si vous aspirez à devenir coach, une formation est indispensable.

Pour ceux intéressés par l’Excellence Coaching Academy, notez que les places sont limitées et que nous organisons deux promotions par an.

Deuxième business model : la formation en ligne

formateur en ligne

La formation en ligne connaît actuellement une expansion fulgurante. Les universités traditionnelles sont en déclin, car beaucoup de gens trouvent les enseignements généraux peu pertinents et déconnectés de la réalité concrète.

En revanche, les formations en ligne dispensées par des experts connaissent un succès croissant.

Ce métier, souvent appelé “infopreneur”, consiste à partager des connaissances, des compétences et du savoir à travers des vidéos, des audios et des PDF.

Une fois la formation créée, elle peut être vendue de manière répétée sans nécessité de recommencer à zéro pour chaque nouvel apprenant. Cette capacité à générer des revenus récurrents offre un levier extraordinaire et permet de réduire significativement le temps de travail tout en augmentant considérablement les gains financiers.

Devenir infopreneur permet non seulement d’avoir un impact illimité, mais aussi d’atteindre un niveau de qualité de vie exceptionnel grâce à la flexibilité offerte.

Pour qui est fait ce métier ?
Ce métier convient parfaitement à ceux qui aiment enseigner et qui ont une aptitude naturelle à transmettre des connaissances. Si vous êtes passionné par la transmission de savoir et que vous recherchez une liberté professionnelle, envisagez sérieusement de devenir infopreneur ou formateur en ligne. C’est un modèle d’affaires très prometteur pour ceux qui sont prêts à s’investir dans cette voie.

Troisième business model : le e-commerce

e-commerce

En ce qui concerne le commerce électronique, voici les 5 principaux avantages.

Avec le commerce électronique, vous pouvez vendre vos produits dans le monde entier. Contrairement à un magasin physique situé à Strasbourg, qui ne peut vendre qu’aux passants locaux, l’e-commerce vous permet de toucher des clients à Paris, New York, et partout aux États-Unis. Cette portée mondiale est également valable pour le coaching et la formation en ligne.

L’e-commerce bénéficie de coûts opérationnels beaucoup plus faibles. Par exemple, avec un modèle comme le dropshipping, vous n’avez pas besoin de maintenir un inventaire ou de stocker des produits dans un grand espace. Vous vous concentrez uniquement sur la vente, en reliant l’acheteur au fournisseur. Lorsqu’un client achète via votre boutique en ligne, le produit est directement expédié à son adresse sans que vous ayez à gérer la logistique. Ce modèle fonctionne très bien et permet de générer des revenus tout en minimisant les coûts et les risques.

L’e-commerce offre une flexibilité incroyable. Vous pouvez travailler de n’importe où, tant que vous avez accès à Internet. Vous souhaitez vivre à Bali six mois par an, voire toute l’année ? C’est possible. Tant que vous avez accès à votre boutique en ligne et que vous maîtrisez le marketing, vous pouvez très bien gagner votre vie.

L’e-commerce permet une personnalisation accrue. Lorsque quelqu’un achète un produit, vous pouvez analyser ses préférences et lui proposer des produits similaires ou complémentaires. Cette personnalisation peut considérablement augmenter vos ventes.

L’e-commerce est extrêmement scalable. Vous pouvez développer votre entreprise de quelques dizaines de milliers d’euros à des centaines de milliers d’euros par mois, voire des millions d’euros.

Comme pour toute activité, que ce soit le coaching, la formation en ligne ou l’e-commerce, il est essentiel de se former. Mais avec les bonnes compétences, vous pouvez gagner très bien votre vie.

Pour qui est fait l’e-commerce ?
L’e-commerce convient souvent aux personnes qui ne souhaitent pas forcément être en contact direct avec les clients.

Par exemple, moi, je trouve que le coaching et la formation en ligne me conviennent parfaitement parce que j’adore interagir avec les clients et les aider. J’ai besoin de ce contact humain.

En revanche, les entrepreneurs dans l’e-commerce recherchent souvent moins ce contact direct. Ils ont besoin de flexibilité et d’un grand niveau de liberté. Ils apprécient la possibilité de voyager à travers le monde sans être liés à un endroit spécifique et sans avoir à gérer des interactions clients en personne.

Si cela vous décrit, l’e-commerce pourrait être un modèle d’affaires intéressant à considérer.

Quatrième business model : expert marketing

solution financement marketing

L’expert en marketing peut évoluer jusqu’à devenir une agence marketing. Un avantage majeur est que vous pouvez travailler de n’importe où : à Dubaï, en Afrique, en Angleterre… Tant que vous avez accès à Zoom et à des emails, vous pouvez trouver des clients et les servir au niveau marketing.

La demande pour des experts en marketing est immense, car la plupart des gens ne maîtrisent pas le marketing. Si vous savez ce que vous faites, vous avez la capacité de les aider efficacement.

Pour qui est fait ce métier ?
Ce métier est idéal pour les personnes qui aiment le marketing, la vente, la psychologie, et l’influence. Il convient également à ceux qui recherchent une grande flexibilité tout en appréciant le contact direct avec les clients. Si cela vous ressemble, cette carrière pourrait être pour vous.

Pour devenir un expert en marketing, il est essentiel de vous former sérieusement. Choisissez un formateur ou une formatrice professionnelle, quelqu’un qui excelle en marketing et qui a démontré ses compétences en aidant des entreprises à générer des millions d’euros de chiffre d’affaires chaque année.

C’est très simple : en tant qu’expert en marketing, plus vous savez, plus vous gagnez. Si vos compétences en marketing sont limitées, il sera difficile de facturer des montants élevés. Les entrepreneurs et dirigeants que vous ciblez comme clients repéreront rapidement votre manque de compétence et se diront : “Il ne comprend rien au marketing.”

J’ai rencontré plusieurs soi-disant experts en marketing, et je me suis souvent dit : “Mais de quoi parlent-ils ? Ils n’y comprennent rien.”

Un grand conseil est de vous former auprès des meilleurs pour devenir un as du marketing. Il est recommandé de suivre plusieurs formations et même de rejoindre un Mastermind.

Lorsque vous devenez vraiment compétent, vous pouvez facturer des montants très élevés et gagner extrêmement bien votre vie. Ensuite, il est essentiel de vous faire connaître.

Postez sur les réseaux sociaux, appliquez ce que vous avez appris pour vous auto-marketer et vendre vos propres services. Cela démontre votre capacité à maîtriser le marketing. Beaucoup prétendent aider en marketing, mais ne parviennent même pas à se promouvoir efficacement.

Pour prouver votre expertise en marketing, vous devez démontrer vos compétences de manière concrète. Les clients potentiels doivent pouvoir dire : “Oui, c’est un vrai marketeur, il peut nous aider.”

Ensuite, il est crucial de maîtriser l’art de créer une offre irrésistible. C’est une compétence clé en marketing que nous enseignons dans toutes nos formations business et marketing. Si vous ne savez pas faire une offre irrésistible, vous n’êtes pas un bon marketeur. Vous devez vous former pour être capable de créer des offres irrésistibles et aider vos clients à en faire de même. Plus vos clients gagneront d’argent, plus vous en gagnerez.

Enfin, il est essentiel de délivrer des résultats concrets à vos clients. Il existe des agences marketing qui excellent en auto-promotion et en vente, mais qui échouent lamentablement en termes de service. Elles peuvent vendre leurs produits de manière impressionnante, mais sans processus ni système efficace, elles n’obtiennent pas de résultats.

Si un client paye et n’obtient pas de résultats, il ne reviendra pas et ne vous fera pas de publicité positive. Il est donc vital de bien vendre vos services et d’aider vos clients à générer du chiffre d’affaires et à obtenir des résultats.

Si vous réussissez à faire cela, vous pouvez gagner très bien votre vie et bénéficier d’un niveau de liberté exceptionnel en tant qu’expert en marketing.

Cinquième business model : l’affiliation

affiliation

L’affiliation est idéale pour ceux qui préfèrent ne pas créer leurs propres produits et souhaitent se concentrer uniquement sur la vente et le marketing des produits d’autres entreprises.

En tant qu’affilié, vous pouvez toucher des commissions en vendant ces produits, et certains affiliés gagnent entre 10 000 et 40 000 € par mois. Ce modèle offre une flexibilité géographique et des revenus illimités.

Pour réussir dans l’affiliation, il est crucial de vous former constamment, en particulier en marketing et dans les techniques spécifiques à l’affiliation. Maîtriser ces compétences vous permettra de toucher des commissions attractives, souvent entre 20% et 50%, et même d’automatiser une grande partie de vos revenus. Certaines personnes qui font de l’affiliation gagnent 10 000 à 20 000 € par mois parce qu’ils vendent constamment le produit d’autres personnes.

Voici les étapes clés pour réussir dans l’affiliation :

  1. Choisissez des produits adaptés : sélectionnez des produits qui répondent à vos critères en termes de valeur, de commission et de potentiel de vente.
  2. Générez des leads qualifiés : utilisez vos compétences en marketing pour attirer des leads qualifiés susceptibles d’être intéressés par les produits que vous promouvez.
  3. Market votre liste : faites la promotion des produits de vos partenaires auprès de votre liste de leads qualifiés. Que ce soit des produits de perte de poids, des programmes de développement personnel ou des formations business, vous pouvez toucher des commissions importantes en fonction de vos ventes.
  4. Utilisez des supports fournis par vos partenaires : souvent, les programmes d’affiliation fournissent des supports marketing tels que des emails prêts à envoyer, des posts pour les réseaux sociaux et d’autres matériels promotionnels. Utilisez-les pour diriger votre audience vers des webinaires ou des pages de vente avec votre lien d’affiliation.
  5. Suivez et optimisez vos performances : surveillez vos clics et vos ventes via votre plateforme d’affiliation. Cela vous permettra de voir les commissions que vous avez gagnées et d’optimiser vos efforts marketing.

Cinq business models à suivre absolument

trouver votre business model

Ces cinq business models offrent un niveau de liberté et de flexibilité exceptionnelle. Ils vous permettent de gagner des revenus considérables sans nécessiter un investissement massif. En investissant un peu de temps dans votre formation, vous pouvez démarrer rapidement avec un risque très faible.

Les cinq modèles idéaux sont : le coaching, la formation en ligne, l’e-commerce, l’expertise marketing et l’affiliation.

Un point crucial : ne faites jamais quelque chose uniquement pour gagner de l’argent. Si vous ne suivez pas votre passion, vous pourriez bien gagner votre vie, mais vous resterez pauvre intérieurement. Il est essentiel de trouver une activité en accord avec vos passions et vos valeurs.

Par exemple, ma passion est de transmettre, c’est pour ça que je suis dans la formation en ligne et les séminaires. J’adore former, j’adore coacher, c’est ma passion. C’est quelque chose que je serais prêt à faire gratuitement. Souvent, je coach gratuitement tellement j’aime ça, je ne peux pas m’en empêcher.

Réfléchissez à ce qui vous passionne au point que vous seriez prêt à le faire gratuitement.

C’est souvent la clé de votre réussite. Les gens passionnés par l’e-commerce, par exemple, réussissent parce qu’ils aiment ce qu’ils font. Il est crucial de choisir une activité qui résonne avec vos valeurs.

Prenez le temps de réfléchir à ce que vous feriez avec plaisir même sans être payé. C’est la définition de votre passion. Identifiez vos forces, vos faiblesses, vos talents et vos intérêts. Parmi ces cinq business models, lequel vous attire le plus ?

Le point commun de tous ces modèles, au-delà de la liberté et de la flexibilité qu’ils offrent, est la nécessité de se former. La formation est la clé de votre succès dans n’importe lequel de ces domaines. Investissez en vous-même et dans votre éducation pour maximiser vos chances de succès.

Le dénominateur commun à tous ces éléments, en plus d’avoir un niveau de liberté et de flexibilité hors du commun, c’est que vous avez besoin de vous former.

Si vous n’êtes pas formé en e-commerce, vous n’allez pas réussir.
Si vous n’êtes pas formé en formation en ligne, vous n’allez pas réussir.
Si vous n’êtes pas formé en coaching, vous n’allez pas réussir.
Si vous n’êtes pas formé en marketing, vous n’allez pas réussir.
Si vous n’êtes pas formé en affiliation, vous n’allez pas réussir.
Donc, vous devez vous former.

Voici trois secrets :

Se former à fond

Trop de gens se contentent de dire : “J’ai fait une formation.” Mais pour réussir, il faut aller bien au-delà.

J’ai suivi des dizaines et des dizaines de formations dans des domaines variés : la psychologie, les neurosciences, le business, le marketing, la génération de cash flow, et l’optimisation financière. Quand je me forme, je m’y investis totalement.

Ne vous contentez pas de vous former à moitié. Pourquoi ? Parce qu’être simplement bon ne suffit plus dans le monde d’aujourd’hui. Il y a 30 ans, être bon pouvait garantir un bon revenu, mais aujourd’hui, avec l’inflation et la concurrence, il faut être excellent, voire extraordinaire.

Se former chez un vrai expert

Se former auprès d’un vrai expert est essentiel. Beaucoup prétendent être formateurs sans réellement maîtriser leur sujet. Recherchez quelqu’un qui a prouvé sa compétence et peut véritablement transmettre son savoir. Évitez les soi-disant experts qui ne peuvent pas justifier leurs compétences par des réalisations concrètes. Cherchez quelqu’un qui parle avec passion et authenticité, en basant ses enseignements sur une expérience vécue.

Pour moi, chaque formation et séminaire que je propose est le reflet de mon expérience personnelle. Je m’engage à ne jamais enseigner quelque chose que je n’ai pas d’abord parfaitement maîtrisé moi-même.

Cherchez à devenir le meilleur dans ce que vous faites

Si vous décidez de devenir coach, ne vous contentez pas d’être moyen. Visez à devenir le meilleur coach possible dans votre niche. Non pas pour surpasser les autres, impressionner les gens ou écraser la concurrence, mais simplement pour offrir le meilleur service à vos clients. En vous engageant à ce niveau d’excellence, vous pourrez vous regarder dans le miroir avec fierté. Vous ne ferez pas seulement bien vivre, vous aurez aussi une liberté extraordinaire, mais surtout, vous changerez positivement la vie des gens. C’est ce qui vous enrichira vraiment à long terme.

J’ai investi plus de 1,2 million d’euros dans ma carrière en formation, en Mastermind, en mentorat. Je n’ai jamais cessé d’investir en moi.

Le meilleur investissement que vous puissiez faire est toujours d’investir en vous-même. Les compétences et les connaissances que vous allez acquérir avec ces formations, personne ne peut vous les taxer, personne ne peut vous les enlever.

Si vous perdez tout du jour au lendemain, vous pourrez vous reconstruire très rapidement grâce à ces compétences et ces connaissances. Cela vous permet de réussir et d’impacter positivement des vies. Plus vous savez, plus vous gagnez, et plus vous êtes en mesure d’impacter positivement des vies.

Investissez en vous.

À très vite,
Max

Les 14 principes de bases de la vente

Voici en détail 14 principes qui vous permettront, à vous et à votre équipe, de décupler votre taux de conversion et vos ventes. Ces principes vous seront utiles à vie, pour vous et pour vos commerciaux.

Ces 14 principes ont permis à des milliers de nos clients d’augmenter leur taux de conversion de 20 % jusqu’à 100 %.
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Principe n°1 : vendre c’est servir

vendre

C’est une philosophie que vous devez adopter. Beaucoup de personnes n’aiment pas vendre.

Je me rappelle que ma mère s’était fait gentiment arnaquer. C’était elle qui avait choisi à la fin, mais il y avait un très bon commercial en face d’elle. Il lui avait vendu un aspirateur dont elle n’avait vraiment pas besoin, qui était lourd, très cher, à 6500 francs (environ 6000 euros). Cela m’a fait penser que les vendeurs étaient des arnaqueurs.

Il est important de comprendre que vendre, c’est servir. Si vous voulez vraiment aider vos clients, vous devez apprendre à vendre.

Si vous aimez vos clients et que vous pensez que votre produit ou service peut vraiment améliorer leur qualité de vie, alors vendre, c’est les servir.

Nous avons un devoir moral d’apprendre à vendre. Car même si vous avez le meilleur produit du monde, si vous ne donnez pas envie aux gens d’acheter votre produit ou service, ils ne l’achèteront pas.

Ainsi, vous ne les aidez pas, et c’est perdant-perdant. Si vous croyez en votre produit, vous avez un devoir moral de le vendre. C’est gagnant-gagnant. Bien sûr, si vous êtes quelqu’un qui ne se soucie pas de ses clients et veut juste vendre un produit en forçant quelqu’un à acheter ou en les arnaquant, ce n’est pas le bon mindset à avoir.

Les entrepreneurs et chefs d’entreprise doivent être des personnes bienveillantes qui ont vraiment à cœur de servir leurs clients. Donc, si vous voulez vraiment servir vos clients, rappelez-vous : vous devez apprendre à vendre, car vendre, c’est servir.

Au lieu de vous dire que vous avez peur de vendre, vous allez perdre de l’argent et surtout, vous n’aidez pas vos clients.

Posez-vous la question : est-ce que je crois en mon produit et mon service ? Est-ce qu’il peut vraiment aider à améliorer la qualité de vie de mes clients ? Si oui, alors vous devez vendre.

Utilisez tous les leviers possibles, éthiques et moraux, pour encourager et influencer la personne à acheter. Si vous faites cela, vous serez en accord avec vous-même, car vous faites votre maximum pour vendre, non pas en forçant ou en arnaquant, mais en donnant envie d’acheter.

Si vous adoptez cette philosophie, cela vous ouvrira des portes inimaginables.

Principe n°2 : avoir un positionnement fort

Vous ne voulez pas vous retrouver dans une situation où vous suppliez les clients d’acheter. Vous devez plutôt être en position de force, en disant “Je suis une opportunité pour t’aider. Tu as un problème, j’ai la solution. Si tu n’achètes pas, je suis désolé pour toi, mais ce sera ton problème, car c’est toi qui auras pris cette décision”.

C’est la position que vous devez adopter, plutôt que de prier pour que la personne achète.

Principe n°3 : savoir écouter

savoir écouter

Quand vous êtes en conversation avec un client, vous devez l’écouter. Vous ne voulez pas passer en mode argumentation pour forcer l’achat.

Plus vous essayez de forcer quelqu’un à acheter, moins il sera enclin à le faire.

Cela va à l’encontre de son libre arbitre, et c’est la dernière chose à faire. Essayer d’argumenter est totalement inefficace. La nature nous a dotés de deux oreilles et d’une seule bouche, pensez-y : vous devez apprendre à écouter deux fois plus que vous parlez.

Au contraire, posez des questions pour découvrir les problèmes du client, comprendre ses besoins et y répondre. Vous devez passer 80% du temps à l’écouter.

Si vous écoutez vraiment votre prospect, vous multipliez par dix vos chances de vendre. Reformulez ce qu’il dit pour montrer que vous comprenez bien sa situation.

Si vous êtes vraiment dans l’écoute empathique, vous allez naturellement reformuler parce que vous cherchez à comprendre. On parle souvent de reformuler, et c’est très bien, mais si vous le faites seulement par technique et non parce que vous voulez réellement comprendre la personne, cela ne fonctionnera pas. Le client ressentira que vous utilisez juste une technique de vente.

Lorsque vous reformulez avec sincérité, par exemple en disant “Donc, si je comprends bien, vous avez ce problème, n’est-ce pas ?”, et que c’est profond et authentique, le client le percevra.

À la fin, lorsque vous ferez votre offre, ce sera tellement plus simple, car la personne sentira que vous l’écoutez vraiment et que vous voulez vraiment l’aider. Se sentir compris, c’est déjà 80 % de la vente.

Principe n°4 : s’adapter, c’est gagner

s'adapter

Il est crucial de comprendre les différents styles de communication. Chaque personne est différente. C’est très important de comprendre ce qu’on appelle les quatre personnalités animales.

Quand vous vendez, vous devez apprendre à vous adapter au style de communication de la personne. Il est crucial de savoir que chaque personnalité fonctionne différemment et que, si vous communiquez avec le mauvais langage, cela ne fonctionnera pas.

Par exemple, si vous ne parlez pas le langage d’un “hibou” il ne comprendra pas ce que vous dites. La personne ne se sentira pas comprise ni connectée à vous, et n’aura pas envie d’acheter.

Vous est-il déjà arrivé d’avoir un vendeur qui ne respectait pas votre style de communication ? Comment vous vous sentiez-vous ? Pas très bien, probablement.

Le secret ici est de s’adapter à la personne en utilisant le bon langage de communication.
C’est une forme de respect envers son style de communication.

Nous allons découvrir les différentes personnalités en commençant par le “hibou”.

Les personnalités animales en communication : le hibou

hibou

Comment fonctionne le hibou ? Imaginez une personne qui est ingénieur, comptable, ou informaticien. Elle aime bien les choses structurées. Cela peut être aussi un avocat, quelqu’un qui est hyper carré, qui aime les détails et les petits éléments. Par exemple, un comptable adore les tableaux de bord.

Il est important de comprendre que nous avons tous ces quatre personnalités en nous, mais certaines sont plus dominantes.

Vous devez identifier la personnalité dominante de votre client.

Le hibou aime la précision, les détails, les calculs, et la logique rationnelle. C’est quelqu’un qui exprime peu ses émotions. Si vous l’abordez avec un “Salut mon pote, comment ça va ? C’est super, je vais te présenter mon produit !”, il va se fermer. Il n’aime pas qu’on le touche ou qu’on soit trop familier dès le début.

Bien entendu, il s’agit d’une caricature, personne n’est 100 % comme cela, mais vous pouvez vous imaginer le genre de personne : bien rangée, attentive aux détails, faisant des calculs, et ayant du mal à prendre une décision sans avoir tous les éléments en main.

Par exemple, avant d’acheter un ordinateur, il va passer des heures, voire des journées, à comparer les produits pour trouver le meilleur rapport qualité-prix. Il fera des comparatifs et des tableaux que la plupart des gens ne feront jamais. Si vous vous reconnaissez, vous pouvez être un dominant hibou.

Si ce n’est pas votre cas, vous comprenez au moins de quoi il s’agit.

Pour vendre à un hibou, vous devez adopter une communication plus logique et rationnelle. Expliquez-lui à quel point votre produit est rationnel et logique. Certes, il a aussi des émotions, mais son mode de communication principal est basé sur la logique et la rationalité.

Si vous essayez d’y aller avec trop d’émotion ou de proximité, il n’aimera pas. Vous devez lui montrer que c’est un choix intelligent et rationnel, basé sur des faits et des chiffres. Vous devez lui prouver que le rapport qualité-prix est meilleur ou peut-être plus cher, mais de meilleure qualité. Vous devez vendre par preuve : prouver par la logique et le rationnel.

Les personnalités animales en communication : le perroquet

perroquet

Passons maintenant au perroquet, totalement différent. Le perroquet aime parler, le contact social. Il est hyper sociable et adore rigoler. Si vous êtes trop rationnel et ennuyeux, il ne sera pas intéressé.

Souvent, si vous êtes un vendeur hibou hyper rationnel, vous allez expliquer par A + B pourquoi votre produit est excellent, mais le perroquet en face de vous va s’ennuyer et vous trouver froid et distant.

Si vous êtes dominant hibou, vous devez apprendre à être plus fun, plus cool, peut-être même à toucher légèrement votre interlocuteur et à faire des blagues, car le perroquet veut s’amuser. Il va penser que le vendeur est sympa et aura envie d’acheter.

Vous avez besoin de socialisation. Cela signifie qu’il faut faire un effort mutuel. Si vous êtes prêt à faire un effort pour communiquer avec la personnalité en face de vous, vous allez beaucoup plus vendre.

Vous pouvez littéralement multiplier vos ventes par deux ou trois, car vous serez capable de connecter avec plus de monde. Que ce soit au téléphone, sur Zoom, ou en personne, pour proposer vos produits ou services, vous devez vous adapter à la personnalité de votre interlocuteur.

Avec un perroquet, il faut être plus sympa, plus chaleureux. Ce sont des personnes qui aiment bien toucher, qui sont tactiles, qui aiment faire des blagues. Il ne faut pas que ce soit ennuyeux. Faites-les rire, faites quelque chose de fun. Si vous sentez que la personne s’ennuie, amusez-la.

Les personnalités animales en communication : la biche

biche

Parlons maintenant de la biche. La biche est le type de personne qui, dans une salle de réunion, à la fin, on ne sait pas vraiment si elle était là ou pas. Elle est très douce, très introvertie, et a du mal à s’exprimer.

À l’inverse du perroquet qui coupe la parole et fait des blagues, la biche est très attentive à l’environnement et a une énorme empathie. C’est une personne incroyable parce qu’elle ressent toujours les émotions des autres. Elle déteste qu’on lui coupe la parole, car elle ne le fait jamais. Elle écoute et pourrait même vous envoyer un message en disant de ne pas imprimer un email pour protéger l’environnement.

Les personnes biches sont empathiques. Si vous voulez devenir très bon en vente, vous devez avoir un peu de biche en vous. Car si vous n’écoutez pas la personne, elle ne se sentira pas entendue. Pour être excellent en vente, vous devez être à la fois implacable en termes de rationnel et de logique, et posséder une grande capacité d’empathie.

Lorsque vous parlez à une audience, il y a souvent les quatre types de personnalités représentées, et vous devez donc vous adapter à chacune d’elles. Vous devez être capable de présenter des statistiques et des faits logiques pour les hiboux, tout en ajoutant une touche de fun et d’humour pour les perroquets. Il est aussi crucial d’écouter attentivement, ce qui est une qualité typique des biches. En personne, passer 80 % de votre temps à écouter fait toute la différence, car cela permet à l’autre de se sentir compris et respecté.

Les biches, en particulier, peuvent être d’excellents vendeurs, car elles ne poussent pas agressivement, elles écoutent et respectent leurs interlocuteurs. Cependant, elles pourraient aussi bénéficier d’adopter un peu plus de l’enthousiasme des perroquets lorsqu’elles présentent leur offre.

Les personnalités animales en communication : le taureau

taureau

Le taureau est un fonceur. Il n’aime pas les longues présentations et préfère que vous alliez droit au but. Il peut couper la parole, mais ne prenez pas cela personnellement. Il est direct et impatient. Soyez direct avec lui : résumez les points essentiels, expliquez les bénéfices et le coût, et allez au but. Un taureau aime la décisivité et l’efficacité.

Pour conclure, rappelez-vous que vous devez vous adapter à chaque personnalité :

  • Le hibou : logique, rationnel, aime les détails et les preuves.
  • Le perroquet : sociable, aime parler et rigoler, cherche le fun.
  • La biche : douce, empathique, aime être écoutée et respectée.
  • Le taureau : direct, impatient, veut aller droit au but.

Principe n°5 : diagnostiquer

diagnostic

Lorsque vous parlez à un prospect ou à un futur client, vous devez diagnostiquer ses besoins, un peu comme un médecin. Vous devez comprendre ses douleurs, frustrations, et besoins spécifiques. Cela vous permet de proposer une solution réellement adaptée à leurs problèmes.

Il est important de noter que si, après avoir fait un diagnostic, vous réalisez que vous n’avez pas la solution à leur problème, il vaut mieux ne pas leur vendre un produit inadapté.

Pousser un produit qui ne résout pas leur problème risque de les mécontenter, et ils pourraient même parler négativement de vous. À court terme, vous pourriez gagner une vente, mais à long terme, vous perdrez un client fidèle et de la réputation.

Prenons l’exemple du tailleur le plus riche et réputé de New York. Lorsqu’un client arrivait, il prenait le temps de diagnostiquer : pour quel événement il a besoin du costume, quel style il préfère, etc.En comprenant exactement ce que le client recherchait, il pouvait proposer la solution parfaite. Ainsi, en diagnostiquant correctement les besoins de vos clients, vous établissez une relation de confiance, et cela vous permet de les servir au mieux.

Ce tailleur va être prêt à recommander sincèrement un concurrent si son propre produit ne correspond pas exactement aux besoins du client. Cette approche va bien au-delà du simple échange commercial à court terme. C’est une philosophie qui vise à établir une relation de confiance à long terme.

Ce genre de personne est rare, mais précieux. Il comprend que servir véritablement le client implique parfois de les orienter vers une alternative meilleure adaptée à leurs besoins immédiats. Cette sincérité et ce souci authentique pour le bien-être du client forgent une fidélité à vie.

Les clients reviennent non seulement pour la qualité des produits ou services, mais aussi pour cette relation de confiance établie.

Maintenir une réputation irréprochable est essentiel. Cela commence par comprendre profondément les besoins du client, diagnostiquer leurs défis principaux et offrir des solutions adaptées, même si cela implique de recommander un concurrent.

Un principe fondamental à retenir est de ne jamais trahir la confiance de vos clients. Une fois la confiance perdue, il est difficile de la regagner.

Principe n°6 : démontrer sa crédibilité

homme crédible

Un autre aspect crucial est la communication de la crédibilité. Trop souvent négligée, la mise en avant des témoignages clients et des succès passés est un moyen puissant de renforcer cette crédibilité.

Pourtant, c’est un élément essentiel pour établir la confiance avec vos clients potentiels. Une manière efficace d’y parvenir est de présenter plusieurs témoignages de clients passés qui ont acheté vos produits ou services. Ces récits authentiques renforcent la confiance en démontrant concrètement la satisfaction de vos clients.

Il est crucial d’adopter une approche humble et sincère dans la façon dont vous partagez ces témoignages. Évitez les déclarations auto-congratulatoires du style “Nous sommes les meilleurs”. Présentez simplement les faits : voici ce que nos clients disent de nous. Cela augmente la crédibilité en montrant que d’autres ont déjà bénéficié de ce que vous proposez.

De plus, le nombre d’années d’expérience dans votre domaine joue également un rôle crucial. Les clients trouvent rassurant de savoir qu’ils font affaire avec une entreprise qui a fait ses preuves sur le long terme. Par exemple, si votre entreprise existe depuis plusieurs décennies ou si vous avez des milliers de clients satisfaits, faites-le savoir. Cela renforce votre crédibilité en établissant un historique solide et en montrant votre engagement à long terme envers la satisfaction client.

Enfin, d’autres éléments comme les certifications professionnelles, les mentions dans les médias ou les collaborations avec des entités renommées peuvent également accroître votre crédibilité. Partager ces réalisations de manière transparente renforce la perception positive que les clients ont de votre entreprise.

Utilisez les témoignages clients, l’expérience de votre entreprise et d’autres preuves tangibles pour établir une relation de confiance avec vos clients potentiels. C’est un investissement précieux qui non seulement crédibilise votre message, mais aussi stimule la confiance et l’engagement à long terme de votre clientèle.

Principe n°7 : assumer que le prospect va acheter

prospect sur le point d'acheter

Imaginez-vous en conversation avec un prospect : si vous doutez de sa décision d’achat, cela peut influencer l’issue de manière significative. L’attitude que vous adoptez peut faire toute la différence.

Si vous entrez dans cet appel en espérant qu’il achète, avec une hésitation dans votre voix, cela peut transparaître. Les clients captent ces nuances subtiles et cela peut semer le doute chez eux également. En revanche, lorsque vous abordez la conversation en étant convaincu que le prospect va acheter, cela change radicalement votre approche. Vous parlez avec assurance et conviction.

Assumer que le prospect va acheter transforme votre discours. Vous parlez au futur avec certitude plutôt qu’au conditionnel. Vous décrivez ce qui va se passer après l’achat : “Vous allez obtenir ceci, nous vous enverrons le produit en 48 heures, etc.” Cette confiance démontre non seulement votre assurance en votre produit ou service, mais aussi votre volonté sincère d’aider le client à améliorer sa vie ou son entreprise.

Lorsque vous êtes convaincu de ce que vous vendez, cela se reflète dans votre communication. Parlez avec cette même conviction à chaque interaction client. Cela renforce non seulement votre crédibilité, mais aussi votre capacité à persuader efficacement.

Principe n°8 : être convaincu pour être convaincant

être convaincant

Soyez convaincu de ce que vous vendez. C’est un élément essentiel pour devenir un vendeur convaincant. Si vous n’êtes pas convaincu vous-même de la valeur de votre produit ou service, il sera difficile de convaincre les autres.

Les clients peuvent sentir votre incertitude, ce qui peut compromettre la transaction. Communiquez toujours avec conviction.

Si, au fond de vous, vous doutez de la qualité de votre produit ou service, il est temps d’agir. Regardez les témoignages de clients satisfaits, analysez comment votre offre a changé leur vie ou amélioré leur entreprise.

Il est aussi important de reconnaître quand des améliorations sont nécessaires. Si vous identifiez des lacunes, travaillez à les combler. Formez-vous davantage, perfectionnez votre offre, assurez-vous que chaque interaction avec un client reflète votre conviction profonde que votre produit ou service est exceptionnel.

La conviction est la clé. Communiquez-la avec assurance et empathie. C’est ainsi que vous créerez des relations solides et durables avec vos clients, loin de la mentalité de vente agressive qui peut ternir votre réputation à long terme.

Principe n°9 : être bienveillant

etre bienveillant

Il est crucial de rejeter la mentalité du “requin” ou du “loup” dans les affaires. Malheureusement, trop d’entrepreneurs adoptent une approche axée uniquement sur le profit, ignorant les besoins et le bien-être de leurs clients.

Cela peut non seulement nuire à votre réputation à long terme, mais aussi avoir des conséquences légales sérieuses. Se retrouver en prison pour fraude ou mauvaise conduite commerciale est une réalité pour ceux qui ne respectent pas l’éthique et la bienveillance envers leurs clients.

Être bienveillant signifie véritablement vouloir le bien de vos clients. Cela va au-delà de simplement vendre un produit ou un service ; c’est aboutir à une relation où vous êtes sincèrement engagé à aider vos clients à atteindre leurs objectifs et à résoudre leurs problèmes.

Cette approche non seulement construit une réputation solide, mais elle vous permet également de prospérer à long terme grâce aux recommandations et à la fidélité des clients satisfaits.

Principe n°10 : être enthousiaste

être enthousiaste

Soyez enthousiaste ! Le mot “enthousiasme” vient du grec “enthos”, qui signifie littéralement “Dieu en soi”. Cela ne nécessite aucune croyance religieuse particulière, mais plutôt une énergie intérieure, une vitalité.

L’enthousiasme est communicatif, vous l’avez entendu maintes fois, mais la question cruciale est : êtes-vous authentiquement enthousiaste lorsque vous parlez de votre produit ou service ?

Je me souviens avoir commis l’erreur pendant mes débuts en tant qu’entrepreneur. À 22 ans, j’étais rempli d’enthousiasme, mais lorsque venait le moment de présenter mes offres, je m’effondrais dans une timidité.

Au lieu de cela, c’est le moment de faire monter le niveau d’enthousiasme ! Lorsque vous parlez de votre produit ou service, vous devez augmenter votre énergie, amplifier votre enthousiasme. Si vous vous exprimez de manière terne et monotone, cela ne donnera pas envie d’acheter. Au contraire, un niveau d’enthousiasme élevé suscite l’intérêt et l’engagement.

L’enthousiasme ne signifie pas nécessairement être bruyant ou exubérant. Cela peut être calme et profond, une énergie intérieure palpable qui transparaît dans votre voix et votre attitude.

Lorsque vous parlez, demandez-vous toujours : est-ce que je communique cet enthousiasme ? Une astuce pratique est de vous enregistrer en audio ou en vidéo et de vous écouter. Cela vous aidera à ajuster votre ton et à trouver le juste équilibre d’enthousiasme sans paraître artificiel.

Ne criez pas, c’est simplement une question d’enthousiasme et d’énergie. Avant de vous lancer, mettez-vous dans un état émotionnel enthousiaste. Cela vous permettra de vendre beaucoup plus.

Principe n°11 : faire rire (ou sourire) les prospects

faire sourire

Faites-les rire, ou au moins sourire. Si votre interlocuteur ne sourit jamais pendant que vous parlez, il ne sera pas motivé à acheter. En revanche, faire rire ou sourire quelqu’un rend difficile le fait de dire non à un ami. Cela renforce la confiance.

Quand quelqu’un aime bien une personne, il est plus enclin à acheter ce qu’elle propose. Alors, ne soyez pas ennuyeux, faites-les rire. Si vous avez du mal à faire rire les gens, apprenez une blague ou deux, entraînez-vous.

Vous passerez un meilleur moment lors de vos ventes au lieu d’être trop sérieux et rigide. Cela peut compliquer les choses. Soyez détendu, souriez, riez. Quand vous souriez et riez, les autres le font aussi. N’hésitez pas à détendre l’atmosphère.

Personnellement, je dis souvent que si quelqu’un n’achète pas, ce n’est pas la fin du monde. J’ai encore mes deux bras et mes deux jambes, et j’aurai de quoi manger demain.

Ne vous mettez pas trop de pression pour vendre. Laissez la conversation se dérouler naturellement, et les conversions suivront d’elles-mêmes.

Principe n°12 : faire une offre irrésistible

faire une offre

Assurez-vous de proposer une offre irrésistible. Vous pouvez maîtriser tous les autres aspects, mais si votre offre est médiocre, les prospects ne seront pas convaincus. Évitez les offres génériques et peu attrayantes comme “Je vais vous faire un site web standard en trois mois pour 10 000 €”.

Une offre irrésistible, c’est tout le contraire : c’est offrir des bonus, une garantie solide, et un maximum de valeur ajoutée. Vous devez créer une offre tellement attrayante que les clients se sentent presque stupides de ne pas l’accepter. Vous devez apprendre à faire une offre irrésistible.

Une offre irrésistible peut inclure une garantie prolongée, un coaching gratuit, un produit supplémentaire offert, ou même une politique de retour avantageuse comme un avoir valable sur 90 jours. Ces éléments sécurisent les clients et les mettent à l’aise. Plus votre offre est irrésistible, plus il est facile pour les gens de décider d’acheter chez vous.

Ne vous contentez pas d’une offre ordinaire comme le font la plupart de vos concurrents, car cela ne se résume qu’au prix. Cela réduit vos marges et limite votre potentiel de vente.

Pour vous démarquer, créez une offre qui dépasse les attentes. Par exemple, si vous vendez des voitures BMW, au lieu de simplement parler du prix, offrez des avantages supplémentaires comme un service de nettoyage gratuit pendant un an, des remplacements de pneus gratuits, une garantie étendue, et même des extras comme des repas dans des restaurants étoilés Michelin ou l’accès à des clubs privés.

L’idée est de créer une offre si alléchante que les clients potentiels se disent “Waouh, je ne peux pas laisser passer ça”. Travaillez sur votre offre irrésistible, car elle peut faire toute la différence à la fin de la vente. C’est ainsi que vous convertirez plus efficacement vos prospects en clients satisfaits.

Principe n°13 : lever les objections

penser aux objections

Lever les objections est crucial. Idéalement, vous anticipez et répondez aux objections avant même de présenter votre offre. Par exemple, si vous savez que le temps est une préoccupation fréquente, abordez cela en amont.

Racontez une histoire sur l’importance de l’investissement de temps pour des résultats extraordinaires. Si c’est une question d’argent, expliquez comment votre produit ou service peut en réalité leur faire économiser de l’argent à long terme. De cette façon, lorsque vous faites votre offre, la plupart des objections ont déjà été traitées.

Pour bien lever les objections après avoir fait votre offre, voici un petit framework.

  1. Accueillir l’objection : sans la prendre personnellement. Considérez-la comme une question plutôt qu’un rejet direct. Cela signifie que la personne est intéressée, mais a des doutes ou des inquiétudes. Vous devez alors comprendre ce qui bloque dans leur esprit. Parfois, les gens n’expriment pas leurs objections clairement, mais cela ne signifie pas qu’ils ne les ont pas. Posez des questions pour explorer ce qui les retient. Par exemple, demandez-leur ce qui leur fait penser que cela prendra trop de temps ou coûtera trop cher. Chaque objection est une opportunité pour clarifier et adapter votre offre. Si quelqu’un dit que c’est trop cher, cela peut signifier qu’il est intéressé, mais hésitant sur le prix. Proposez alors des solutions comme des paiements échelonnés ou une offre adaptée à leur budget. Cherchez toujours à trouver un terrain d’entente qui convienne à toutes les parties.
  2. Transformer l’objection sous forme de question : cette étape consiste à reformuler l’objection de manière à ce que cela ressemble plus à une question, ce qui indique l’intérêt de la personne pour le produit ou le service.
  3. Reformulez l’objection en question : pour montrer que vous comprenez vraiment le point de vue de votre interlocuteur. Par exemple, si l’objection est que le produit est trop cher, reformulez en disant : “Si je comprends bien, vous trouvez que le produit est trop cher ?” Cela valide leur préoccupation et montre que vous cherchez à comprendre leurs besoins.
  4. Demander la permission de poser une question : une fois que vous avez reformulé l’objection, demandez poliment la permission de poser une question pour changer de perspective. Par exemple, “Est-ce que je peux vous poser une question ?”. Cette question vise à changer la perspective de l’interlocuteur en soulignant comment il gère son temps pour des activités qu’il apprécie vraiment, comme regarder une série sur Netflix.En posant cette question, vous permettez de démontrer que la gestion du temps est une question de priorité, et que nous priorisons les choses qui sont vraiment importantes pour nous.
  5. Répéter la boucle : l’étape finale consiste à répéter la boucle. Par exemple, si vous sentez soudainement que la personne est à nouveau bloquée par une barrière, imaginez cette barrière et demandez : “Est-ce qu’il y a quelque chose qui vous bloque encore ?” On répète cette opération jusqu’à ce que toutes les barrières soient tombées, transformant ainsi le chemin vers l’achat en une autoroute dégagée.

Si vous le faites avec bienveillance, en étant vraiment dans une logique de vendre pour servir, cela fonctionnera. Maintenant, passons au 14e principe, roulement de tambour, tellement important : soyez décisif, particulièrement au moment où vous faites votre offre.

Principe n°14 : être décisif

etre decisif

Il y a tellement de personnes qui attendent que le client dise : “Ok, j’achète, voici ma carte bleue”. Cela arrive très rarement. Certains sont tellement convaincus, mais non, vous devez être décisif. À la fin, cela se résume à : “J’ai fait l’offre, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?”

Ne posez jamais la question “Qu’est-ce qu’on fait ?” car la personne pourrait vous répondre : “Je ne sais pas, dites-moi”.

Si vous entendez cela, il y a de fortes chances que vous perdiez la vente. Donc, soyez décisif. Être décisif signifie être absolument convaincu. Arrivez à la fin en disant : “Bon, on se lance ?” ou “Est-ce que cela vous convient ?”.

C’est très puissant d’être décisif avec une question finale. Cela envoie une question qui amène un “let’s go, on se lance, OK”. Ensuite, les questions suivantes pourraient être : “Est-ce que vous préférez régler par virement ou par carte bleue, par exemple ?”.

Vous devez être décisif à la fin.

Vous sentez la personne, vous avez géré les objections, vous avez fait tout votre travail dans une philosophie de vendre pour servir. Vous êtes en position de force, pas de faiblesse. Vous avez écouté, adapté, diagnostiqué, crédibilisé. Vous avez assumé, été convaincant, bienveillant, enthousiaste. Vous avez fait rire ou sourire. Vous avez fait une offre irrésistible, vous avez levé les objections.

Faites un appel à l’action et c’est réglé. Ce sera bon pour eux et bon pour vous. Ils vous remercieront mille fois d’avoir été décisif à la fin, car lorsque votre produit ou service impactera positivement leur vie, ce sera le plus grand cadeau que vous puissiez leur offrir.

À très vite,
Max

Comment gagner plus d’argent ?

Fatigué de vivre sous une pression constante et de ne recevoir que des miettes à la fin du mois ? Alors, cet article est fait pour vous. Voici trois étapes essentielles pour briser ce cercle vicieux.

Que vous soyez un chef d’entreprise accompli ou que vous partiez de zéro, vous aurez accès aux mêmes leviers que les entrepreneurs les plus prospères utilisent pour doubler leurs revenus tout en réduisant leur temps de travail de 30 à 50 %.

Ces trois étapes vont vous permettre de créer une entreprise valorisée !

N’hésitez pas à vous inscrire à notre séminaire pour entrepreneurs.

Alors, quelles sont ces trois étapes ?

Étape numéro 1 : apporter plus de valeur à vos clients

valeur

La première étape est de comprendre ce principe fondamental : la valeur est distincte du prix. Vous êtes payé en fonction de la valeur que vous apportez sur le marché.

Donc, si vous voulez gagner plus, vous devez ajouter plus de valeur. Et comment apporter plus de valeur ? En comprenant réellement la douleur de vos clients, leur frustration majeure, et leur plus grande difficulté.

Une fois que vous avez saisi cela, vous pouvez créer un produit qui soulage cette douleur, et ainsi être rémunéré en conséquence. Le nombre de clients que vous aidez joue également un rôle crucial. Si vous n’aidez qu’un client, vous apportez peu de valeur sur le marché. En revanche, si vous en aidez des dizaines de milliers, vous apporterez énormément de valeur et serez récompensé en conséquence.

Un point fondamental à comprendre est la distinction entre prix et valeur. Beaucoup de gens confondent les deux et pensent que la valeur d’un bien doit déterminer son prix.

Prenons un exemple : combien vaut une bouteille d’eau ? Disons entre 50 centimes et 2 euros. Mais si vous êtes dans le désert depuis trois jours sans boire et que votre survie en dépend, combien seriez-vous prêt à payer pour cette même bouteille d’eau ? Dans cette situation, bien que le prix réel soit peut-être 1 euro, sa valeur à vos yeux serait inestimable.

Dans cette situation, si vous avez une douleur massive à résoudre, seriez-vous prêt à payer 1000 €, 10 000 € ? Absolument, sinon vous risquez de mourir.

Personnellement, je n’hésiterais pas à payer 10 000 € pour sauver ma santé ou ma vie. 

Cela illustre bien la différence entre prix et valeur.

Pour rendre cela plus concret, prenons un autre exemple : si vous avez passé six mois à créer un site internet, vous pourriez penser que vous devez facturer 20 000 € pour le temps investi.

Mais si un webmaster peut réaliser le même site en deux jours pour 1 000 € ou 2 000 €, vous voyez bien que ce n’est pas le temps qui compte, mais le résultat final. Cette solution est la meilleure dans ce cas.

Il y a encore trop d’entrepreneurs qui fonctionnent comme des salariés, se basant sur le nombre d’heures travaillées pour déterminer leur rémunération. Or, dans le monde des affaires, vous êtes récompensé pour la valeur ajoutée que vous apportez sur le marché, pas pour le temps passé.

Une analogie parfaite est celle de Picasso. Dans ses dernières années, alors qu’il vivait à Cannes, une femme lui demanda un jour de lui dessiner quelque chose rapidement dans un café.

En dix minutes, Picasso réalisa un dessin magnifique. Quand la femme lui demanda combien elle devait payer, il répondit : “Un million de francs.” Elle s’étonna : “Comment est-ce possible ? Vous l’avez fait en dix minutes !” Picasso répliqua : “Non, non, non, c’est 40 ans et dix minutes.” Ce qu’il voulait dire, c’est que la valeur de son dessin, même réalisé en dix minutes, était le fruit de 40 ans de maîtrise artistique.

Ce que vous devez comprendre pour votre entreprise, c’est ce qui génère vraiment de la valeur pour vos clients.

Vous connaissez sûrement la loi de Pareto, le 80/20 : 20 % de vos actions génèrent 80 % de vos résultats. Imaginez ce qui se passerait si vous consacriez 80 à 100 % de votre temps et de votre énergie à ces 20 % d’actions qui génèrent le maximum de valeur.

Vous seriez alors capable de générer 5 à 10 fois plus de valeur dans le même temps de travail, réduisant ainsi votre temps de travail tout en gagnant beaucoup plus.

C’est ce qui m’a permis, avec les années, de réduire mon temps de travail.

Je travaille toujours parce que j’adore ce que je fais, mais beaucoup moins qu’avant, tout en gagnant littéralement 30 fois plus. Comment est-ce possible ? Parce que j’ai appris à me concentrer sur ce qui génère le maximum de résultats.

Étape numéro 2 : devenir une machine à création de valeur

création de valeur

Passons maintenant à l’étape numéro 2 : vous devez devenir une machine à création de valeur.

Vous devez vous poser constamment cette question : comment puis-je ajouter un maximum de valeur dans la vie de mes clients ? 

Depuis plus de dix ans, cette question ne cesse de trotter dans ma tête : comment puis-je ajouter un maximum de valeur ? Car je sais que je suis rémunéré en fonction de la valeur que j’apporte. 

Si vous voulez gagner plus, vous devez ajouter plus de valeur.

Comment pouvez-vous ajouter plus de valeur dans la vie de vos clients ? C’est très simple. L’entrepreneur qui pense de cette manière et qui ajoute plus de valeur que n’importe qui d’autre gagne, c’est aussi simple que cela.

Alors, comment créer plus de valeur ? La première chose à faire est de vous mettre à la place de vos clients et de ressentir ce qu’ils ressentent. Vous devez comprendre leur douleur, leurs frustrations, et ce qui les empêche de dormir la nuit.

Si vous ne comprenez pas leurs problèmes, vous ne pouvez pas les aider. Vous devez connaître les une à trois problématiques majeures qu’ils rencontrent actuellement. Vous devez être capable de décrire leurs problèmes mieux qu’ils ne le peuvent eux-mêmes.

C’est à ce point-là que c’est puissant. Vous devez vous mettre dans les chaussures de votre client idéal et dire “Est-ce que tu ressens ça ? Est-ce que tu vis ça ?” Et quand il répond oui, il a l’impression que vous lisez dans ses pensées.

C’est ça, le grand secret : contrairement à ce que beaucoup pensent, le marketing ne consiste pas à pousser les gens à faire quelque chose qu’ils ne veulent pas. Le marketing consiste à comprendre profondément son client, à être empathique, puis à créer un produit ou un service qui résout véritablement son problème.

Une entreprise a un but très simple : aider les gens. Beaucoup d’entrepreneurs se focalisent sur le fait de gagner de l’argent, mais il ne faut pas oublier que gagner de l’argent est une conséquence d’avoir résolu un problème.

En France, on parle même de “raison sociale” quand on crée une entreprise. Quelle est la raison sociale de votre entreprise ? Quel problème résolvez-vous ? Quels sont les vrais problèmes de vos clients ? Pouvez-vous articuler clairement ce que ressent votre client, ce qui se passe dans sa tête, ce qu’il veut de plus ou de moins, et quelle est sa frustration actuelle ?

Pour vraiment comprendre vos clients, vous devez devenir extrêmement empathique et être capable d’articuler leurs problèmes mieux qu’eux-mêmes.

Comment faire ? En réalisant un sondage en profondeur. 

Dans tous mes programmes de business et de marketing, j’enseigne comment faire un Sondage en Profondeur (SEP). 

Cela consiste à poser simplement aux clients la question : “Quelle est ta problématique majeure ?” Ensuite, vous analysez les réponses pour comprendre ce qui se passe vraiment.

Parfois, il suffit de parler à une dizaine de clients : “Qu’est-ce que tu ressens ? Quelle est ta problématique ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Qu’est-ce qui pourrait résoudre ton problème ?”.

Vous devez tomber amoureux de vos clients plutôt que de votre produit. 

Votre produit doit exister pour résoudre le problème de vos clients.

Une erreur commune chez les entrepreneurs, que j’ai moi-même commise au début, est de se focaliser trop sur le produit. Ils sont tellement amoureux de leur produit qu’ils croient que tout le monde va l’acheter simplement parce qu’ils le trouvent génial. Ils le lancent sur le marché et… bam, tout le monde s’en fiche.

Vous devez écouter le marché, puis créer un produit pour répondre aux besoins du marché. Cela nous amène au point suivant.

Vous devez développer des compétences et créer un produit pour résoudre le problème de votre client idéal. Plus vous vous formez continuellement, plus vous développez des compétences, un savoir-faire et un savoir-être qui vous permettront de mieux servir vos clients, de mieux les aider et de créer des produits ou services qui ajoutent plus de valeur à leur vie.

Comprenez bien : vous devez d’abord comprendre la problématique de votre client et vous mettre à sa place. Ensuite, développez des compétences et des connaissances qui vous permettront de créer des produits ou services pour résoudre les problèmes de vos clients. C’est aussi simple que cela : vous faites cela, vous gagnez.

Un exemple concret : il y a plusieurs années, j’ai commencé à réaliser des sondages pour vraiment comprendre les besoins et frustrations de mes clients. J’ai passé du temps à les appeler, à les interviewer et à tomber amoureux de mes clients. 

J’ai découvert des réponses auxquelles je ne m’attendais pas du tout. J’ai donc pivoté avec mon équipe et nous avons développé des compétences et des connaissances pour créer des produits qui répondaient réellement aux besoins de nos clients. Le résultat ? Notre entreprise a triplé son chiffre d’affaires en deux ans et le taux de satisfaction de nos clients a également triplé.

Pour illustrer ce point, Abraham Lincoln a dit un jour : “Si j’avais neuf heures pour couper un arbre, j’en passerais six à aiguiser ma hache et seulement trois à couper l’arbre.”

Aiguiser votre hache signifie tomber amoureux de vos clients, poser des questions pour comprendre leurs besoins, puis développer les compétences nécessaires pour mieux résoudre leurs problèmes. Ensuite, il s’agit de délivrer le produit ou service dans les mains de vos clients.

Il est fondamental d’apprendre à optimiser votre temps. Si vous passez 80 % de votre temps à faire des tâches qui n’ont rien à voir avec la compréhension de vos clients, l’amélioration de vos compétences et la livraison de produits ou services, vous ne ferez que brasser de l’air.

En ajoutant plus de valeur, vous devez commencer par libérer votre temps.

Étape numéro 3 : savoir monétiser votre valeur

savoir monétiser valeur

Voici la troisième étape : savoir monétiser votre valeur. Vous allez souvent me demander : “Oui, mais comment mon client va-t’il me connaître et comprendre la valeur de mon produit ou service ?” Pour cela, vous devez apprendre à le marketer et à le vendre. C’est de cette façon que vous allez pouvoir monétiser votre valeur.

Modifier votre valeur dans l’économie repose sur la création d’un produit ou d’un service qui ajoute de la valeur à la vie de vos clients en échange d’argent. C’est aussi simple que cela.

Alors, comment monétiser votre savoir ? Gravez ceci dans votre esprit : tout le monde doit posséder un tunnel de vente.

Un tunnel de vente peut être très simple ou extrêmement long et détaillé, mais à sa base, qu’est-ce que c’est ? Tout d’abord, il s’agit de la visibilité. Les autres doivent vous connaître. C’est le “know me, like me, trust me, buy me“. Il y a quatre éléments clés ici.

KNOW ME – Être connu

D’abord, il est essentiel que les gens vous connaissent. Si vous n’êtes pas visible sur les réseaux sociaux ou si personne ne parle de vous, il n’y aura pas de publicité. Si personne ne sait que vous existez, vous êtes virtuellement invisible.

Il vaut mieux être imparfait qu’invisible. 

Beaucoup d’entre vous cherchent à être parfait lorsque vous publiez quelque chose sur les réseaux sociaux.

Comment devient-on parfait ? En fait, on ne le devient jamais. On s’améliore constamment au fil du temps. C’est comme avec les iPhones : ça a commencé avec l’iPhone 1 et Apple a continué à l’améliorer jusqu’à l’iPhone actuel. Donc, la première étape est d’être visible. Si personne ne vous connaît, personne n’achètera. C’est le principe de base.

LIKE ME – Être apprécié

Ensuite, ils doivent vous apprécier. Comment y parvenir ? En étant simplement agréable avec eux, en offrant de la valeur, en donnant des conseils gratuits, en proposant un ebook gratuit, en organisant un webinar pour les aider, en publiant des conseils sur les réseaux sociaux, en offrant des appels gratuits ou même une session stratégique de 30 minutes pour les conseiller.

Tout cela contribue à construire la confiance.

TRUST ME – Créer la confiance

La troisième étape consiste à créer cette confiance.

Une des plus grandes erreurs que je vois chez les entrepreneurs est de ne pas construire cette confiance. 

Ils passent directement de la visibilité à essayer de vendre, ce qui équivaut à voir quelqu’un dans la rue, le trouver attrayant et immédiatement lui demander en mariage.

Les chances de succès sont extrêmement faibles dans ce cas (probablement 0,0001 %). Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas de confiance établie.

La personne ne vous connaît pas, ne vous apprécie pas encore et n’a pas confiance en vous. Sans confiance, il est peu probable qu’elle accepte votre offre. C’est pourquoi il est essentiel de construire cette confiance progressivement en offrant de la valeur et en établissant une relation solide.

Un des meilleurs conseils que je puisse vous donner est de donner les choses gratuitement, de fournir des conseils gratuits. 

Vous voulez devenir le meilleur conseiller pour vos clients. Si vous suivez ces quatre étapes, vous construirez un tunnel de vente solide.

Vous allez vraiment nouer la confiance. La confiance est la monnaie du 21e siècle. Si les personnes n’ont pas confiance en vous, en votre entreprise, ou en vos produits, ils n’achèteront pas.

Proposer gratuitement

proposer service gratuit

Tout ce que vous faites devrait toujours viser à augmenter la confiance. Comment pouvez-vous générer plus de confiance chez vos clients ? Vous ne pouvez pas simplement acheter la confiance ; vous devez démontrer que vous êtes authentiquement de leur côté, prêt à les aider. 

En leur donnant des conseils et en faisant ce qu’il faut pour générer un maximum de confiance. Après tout, si la confiance est à 10/10, la vente est presque inévitable. Les clients achètent parce qu’ils ont confiance en vous.

Considérez le modèle du freemium, par exemple. Regardez comment Dropbox a explosé en offrant 16 Go de stockage gratuit.

Les internautes ont découvert et utilisé Dropbox, ont trouvé cela génial, puis ont atteint rapidement les 16 Go gratuits. À ce moment-là, ils se sont dit : “J’ai déjà stocké tous mes fichiers ici, combien cela coûte-t-il ?” Et ils sont passés à l’abonnement mensuel. Maintenant, Dropbox génère des milliards.

Offrir quelque chose gratuitement aide à créer la confiance, à démontrer votre expertise. Une fois que cette confiance est établie, il devient très simple de présenter votre offre principale ou votre produit, et c’est là que les ventes commencent.

Proposer un produit d’appel

produit d'appel

Les entrepreneurs ont souvent tendance à vouloir vendre un produit ou un service directement. Parfois, vous pouvez le faire.

Même Ikea le fait. L’entreprise vend, par exemple, un coussin à 1 €. Elle ne fait pas réellement de profit sur cet article.

C’est ce qu’on appelle un produit d’appel.

Certaines publicités Ikea proposent des coussins à 1 €. Est-ce qu’ils gagnent vraiment de l’argent avec cela ? Non. Mais cela attire les prospects en magasin, et vous savez bien qu’une fois que vous allez chez Ikea, vous ne sortez pas uniquement avec un coussin à 1 €. Vous voyez aussi d’autres produits (fourchettes, verres, un autre coussin, puis un canapé, etc). Vous vous en sortez pour bien plus qu’un euro !

Ce concept fonctionne bien. Même si vous ne donnez pas les choses gratuitement, pensez à proposer un produit d’appel. Peut-être que vous ne gagnez pas d’argent dessus, mais cela permet aux gens de découvrir votre univers.

Une fois qu’ils l’ont découvert, ils auront bien plus confiance en vos capacités à les aider ou en vos produits, et naturellement, ils voudront acheter les produits additionnels.

Proposer une garantie sur un produit

garantie produit

Un autre élément qui construit la confiance, c’est la garantie. Cela rassure les gens.

Par exemple, pour nos séminaires, nous offrons une garantie jusqu’au second jour à midi. Cela permet aux gens de tester et de se dire “wow, c’est incroyable, la valeur est énorme”, et cela les convainc. La plupart de nos programmes en ligne ont une garantie de 30 jours, permettant aux clients de tester sans risque. 

Si la valeur n’est pas au rendez-vous, on rembourse. Cela sécurise les gens. Vous devez démontrer que vous êtes convaincu de la valeur que vous allez apporter. Certaines entreprises vont jusqu’à offrir une garantie de résultats, où elles assurent les résultats promis, ou sinon les clients ne paient pas plus. Cela donne confiance et incite les gens à passer à l’action.

Un conseil supplémentaire pour monétiser votre valeur

upsell

Un petit secret additionnel pour monétiser votre valeur est le concept d’upsell. L’upsell consiste à proposer immédiatement un produit supplémentaire après un achat initial.

Par exemple, McDonald’s a augmenté de 25 % son chiffre d’affaires en posant systématiquement une simple question : “Est-ce que vous voulez des frites avec ?” ou “Est-ce que vous voulez un Coca-Cola avec ?”.

Cette question encourage les gens à acheter plus, et la plupart disent oui.

Un autre exemple, chez Décathlon.

La dernière fois, j’étais dans une file interminable, et tout le long, il y avait des produits comme une lampe torche, des chaussettes, etc. Vous y allez pour une paire de chaussures et vous finissez par prendre des piles, un gant, une lampe, une torche…

L’entreprise vient d’augmenter son panier moyen. Elle a pu monétiser la valeur tout simplement en proposant à ses clients d’autres produits. Cela leur permet de gagner 25 % en plus. Il suffit juste de systématiser une question qui est : “Et avec ceci ?”

Alors, voici comment vous allez pouvoir gagner bien plus, deux fois plus, en travaillant 30 à 50 % en moins :

  1. Vous devez comprendre le concept de valeur par rapport au prix. Vous devez littéralement penser : “Comment puis-je ajouter un maximum de valeur ?” Rappelez-vous que vous n’êtes pas payé sur le temps de travail, mais sur la valeur que vous apportez. Si vous pouvez apporter deux fois plus de valeur en travaillant deux fois moins, vous gagnez deux fois plus en travaillant deux fois moins. Vous avez compris.
  2. Vous devez devenir une machine à création de valeur. Comment pouvez-vous ajouter plus de valeur ? Écoutez vos clients, développez vos compétences et créez des produits ou services qui solutionnent leurs problèmes.
  3. Finalement, vous devez apprendre à monétiser votre savoir. Pour cela, vous devez vous rappeler que vous devez créer énormément de confiance en amont. Les clients n’achèteront pas s’ils n’ont pas confiance. S’ils ont confiance, ils achèteront. C’est aussi simple que ça.

Où que vous soyez dans votre vie, croyez en vos rêves. Vous êtes capable de transformer votre vie. Rien n’est inscrit dans le marbre. Croyez en vos rêves et faites ce qu’il faut pour les réaliser.

À très vite,

Max

Comment passer de 0 à 10 millions d’euros de CA ?

Voilà le parcours exact à suivre pour atteindre les 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en partant de zéro.

Le but est simple : atteindre la barre des 10 millions d’euros ! Mais il y a une règle : il faut avoir validé chaque étape pour passer à la suivante.

N’hésitez pas à vous inscrire à notre séminaire pour entrepreneurs.

Pour atteindre le premier palier, lisez le précédent article : comment passer de 0 à 100 000 euros ?

Deuxième palier : le million d’euros !

groupe de personnes millionnaires

Le deuxième palier à atteindre est un million d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Pour atteindre 1 million d’euros de chiffre d’affaires annuel, il y a trois compétences majeures à développer.

Première compétence : trouver ce qui fonctionne et augmenter votre cible

augmenter sa cible

À cette étape, vous avez testé différentes approches. Il est temps de vous poser et d’analyser ce qui a marché et ce qui n’a pas marché. Le succès vient de la capacité à tester, analyser et trier.

Ensuite, arrêtez de faire ce qui ne fonctionne pas et faites plus de ce qui fonctionne. Si, par exemple, les partenariats ont bien marché, triplez les partenariats. Si les publicités ont marché, investissez davantage dans les publicités. Focalisez-vous, ainsi que votre équipe, sur ce qui marche pour passer de 100 000 à 1 million.

Deuxième compétence : apprendre à libérer son temps

 

Vous devez apprendre à déléguer, particulièrement les tâches administratives, pour vous concentrer sur le développement de votre entreprise. Les trois départements où vous pouvez potentiellement déléguer : l’administratif, la comptabilité et le service client.

À ce niveau, vous commencez à gagner de l’argent, mais il est crucial de faire attention à vos marges et d’éviter de tout dépenser inutilement. Ne faites pas cela, vous allez stagner.

Si vous continuez à faire la comptabilité, l’administratif et le service client, vous serez débordé, et cela affectera votre vie personnelle et professionnelle. Déléguer ces tâches vous permettra de récupérer du temps, non seulement pour votre bien-être, mais aussi pour vous concentrer sur des actions plus productives, comme générer plus de clients et d’affaires.

J’ai d’abord pris quelqu’un à temps partiel pour m’assister dans les tâches administratives, organiser les séminaires et gérer le service client. Ensuite, j’ai recruté des personnes pour chaque pôle séparément.

Peu importe ce qui arrive, déléguez ces trois pôles : administratif, comptabilité et service client.

En faisant cela, vous récupérerez 20 à 30 heures par semaine. Avec 80 heures par mois supplémentaires, vous pourrez mieux souffler, apprécier à nouveau votre travail, rester en contact avec vos clients, et vous concentrer sur le marketing, la vente et le service client.

À mesure que vous évoluez, votre temps devient de plus en plus précieux.

Apprenez à déléguer rapidement les tâches qui demandent beaucoup d’effort, mais qui ne rapportent pas beaucoup. Cela vous permettra de vous concentrer sur les tâches à haute valeur ajoutée et d’accroître votre productivité et vos résultats.

Troisième compétence : analyser son cashflow

 

À ce stade, il est vital de commencer à surveiller votre flux de trésorerie.

Qu’est-ce que le cash flow ? C’est votre flux de trésorerie, le montant que rapporte votre business en termes de cash mois après mois, année après année. Beaucoup de business meurent non pas parce qu’ils ne sont pas profitables, mais parce qu’ils ne font pas attention à leur flux de trésorerie. Ils s’essoufflent donc en pleine croissance.

Imaginez que sur un mois, vous recevez 50 000 € d’encaissement, mais vous devez débourser 70 000 € pour vos prestataires, coûts administratifs, etc. Vous avez alors un déficit de 20 000 € dans la trésorerie. Avec une trésorerie de 60 000 €, en trois mois, vous êtes en faillite. C’est une situation que vous devez absolument éviter.

J’ai moi-même frôlé la faillite deux fois dans ma carrière parce que je ne faisais pas attention à mes flux de trésorerie.

Vous devez être particulièrement vigilant avec vos encaissements et décaissements. En effet, à ce moment-là, vous commencez à investir, à croître, à dépenser plus en publicité et à recruter des gens. Il est crucial de vous assurer qu’il y ait toujours plus d’argent qui rentre que d’argent qui sort.

Souvent, les gens sont obnubilés par le million d’euros de chiffre d’affaires.

J’ai atteint 1 million d’euros en un an et demi, mais j’ai dû réinjecter 150 000 € dans ma boîte, ce qui était douloureux. J’avais négligé mes marges et mon cash flow. L’objectif est de vous aider à éviter les erreurs que j’ai commises, car elles peuvent être très douloureuses.

À ce niveau, vous pouvez aussi avoir recours à des logiciels et des CRM pour gérer les tâches administratives répétitives.

Par exemple, un élément fondamental est d’avoir un autorépondeur. Cela signifie que vous pouvez avoir 20 prospects entrant dans votre base de données, et des emails se déclenchent automatiquement : le premier email au bout d’un jour, le deuxième au bout de trois jours, sans intervention manuelle. Cela vous fait gagner du temps, améliore l’efficacité et réduit les coûts.

Découvrir les joies du recrutement peut parfois se transformer en cauchemar.

La première assistante de direction que j’ai recrutée il y a environ 11-12 ans, lorsque j’ai démarré dans la carrière de coach et formateur, a été une catastrophe. Elle était très bien payée, mais je ne pouvais jamais compter sur elle. Faites très attention à ne pas recruter n’importe qui.

Plus vous allez scaler, évoluer, grandir, plus le recrutement devient important.

À ce stade, passez 20 % de votre temps en tant que dirigeant sur le recrutement, 30 % sur le service et la livraison des produits pour que les clients soient contents, et 50 % de votre temps sur l’acquisition de clients.

Mesurer 7 KPI pour mieux performer à ce niveau

On entend parfois : “les amateurs supposent, les pros mesurent”. Il est important de mesurer 7 KPI lors de cette phase de croissance.

Les quatre premiers KPI sont :

  • le nombre de leads (prospects),
  • le nombre de clients,
  • le taux de conversion,
  • le panier moyen.

Ensuite, ajoutez trois autres KPI :

  • la fréquence d’achat : combien de fois par an vos clients achètent. Plus ils achètent souvent, plus votre chiffre d’affaires augmente. Si vous doublez la fréquence d’achat, vous doublez votre chiffre d’affaires,
  • le taux de satisfaction client : mesurez la satisfaction client pour assurer que la qualité de livraison reste élevée même en période de croissance,
  • le profil par client. Lorsque vous êtes en phase de croissance, si vous constatez que votre profit par client diminue, cela peut indiquer une inefficacité croissante et un risque potentiel de faillite. Il est crucial de maintenir, voire d’augmenter, votre profit par client pour garantir une croissance saine et durable.

En mesurant ces 7 KPI, vous êtes assurés de pouvoir croître sans exploser en vol.

Troisième palier : les 10 millions d’’euros !

Vous pouvez célébrer le million d’euros de chiffre d’affaires, mais assurez-vous que ce soit rentable pour vous. Certains entrepreneurs sont obsédés par le montant de leur chiffre d’affaires sans se préoccuper de leur rentabilité. Pour réussir, il est crucial de veiller à vos marges et à votre trésorerie.

Pour passer du million à 10 millions d’euros de chiffre d’affaires, il faut suivre plusieurs étapes importantes.

Sur les étapes précédentes, il fallait se concentrer sur un avatar, un client et un tunnel de vente précis.

Première compétence : augmenter la valeur de vos clients

Pour augmenter la valeur client, vous devez commencer à envisager d’étendre vos offres. Avant, vous aviez un produit unique, mais maintenant que vous avez une grande base de clients, peut-être quelques dizaines ou centaines, c’est le moment de leur proposer un nouveau produit additionnel.

À ce stade, continuez à fidéliser vos clients mensuellement et proposez-leur un produit complémentaire, meilleur ou additionnel. Ainsi, votre chiffre d’affaires commencera à croître rapidement.

J’ai appris de mes mentors qu’il faut lancer une nouvelle offre par an, ce que j’ai fait pendant dix ans.

Pour passer de 1 à 10 millions, vous pouvez commencer à étendre vos produits et à augmenter ce qu’on appelle la LTV (Lifetime Value, valeur du client).

Peut-être que vous êtes en affaires depuis trois ans et avez dépassé le million d’euros de chiffre d’affaires. Bravo !

Mais il est temps de lancer un nouveau produit chaque année pour augmenter la valeur client. Cela peut aussi impliquer de faire une meilleure offre et peut-être d’augmenter légèrement les prix, ce qui augmentera également votre chiffre d’affaires. Il y a tellement de moyens pour augmenter votre chiffre d’affaires.

Deuxième compétence : savoir recruter votre équipe

La deuxième compétence fondamentale pour passer de 1 à 100 millions d’euros est de savoir recruter des joueurs de Ligue 1. Pour gagner en Ligue 1, vous devez avoir des joueurs de Ligue 1.

54 % de votre réussite dépend de la qualité de l’équipe que vous recrutez. On ne parle pas ici de joueurs de football, mais de recruter des membres d’équipe avec un haut niveau de compétence et de standards.

Si vous avez de mauvaises personnes dans votre équipe, vous obtiendrez de mauvais résultats. Il y a trois niveaux dans votre équipe : les joueurs de Ligue C, les joueurs de Ligue B, et les joueurs de Ligue A.

Les joueurs de Ligue C sont ceux sur qui vous ne pouvez jamais compter, ils n’ont pas le niveau de compétence nécessaire et ont une attitude horrible. Vous ne gagnerez jamais un championnat avec des joueurs de Ligue C, travailler avec eux au quotidien sera une catastrophe.

Ensuite, vous avez les joueurs de Ligue B. Ces joueurs font leur travail, mais pas plus. Ils comptent leurs heures et font le strict minimum. Ils sont un peu compétents, mais vous êtes toujours en train de vous dire “elle est bien, mais…”. Ce sont des joueurs de Ligue B, qui sont souvent les plus difficiles à gérer.

Idéalement, vous voulez améliorer leurs compétences pour qu’ils deviennent des joueurs de Ligue A.

Cependant, je vais être sincère, certains ont une attitude qui n’est pas correcte, et il est très rare que quelqu’un passe du statut de joueur de Ligue B à celui de Ligue A en termes de mentalité. En termes de compétences, aucun problème. Ils sont prêts à se remettre en question et à apprendre, ils peuvent passer de compétences B à compétences A.

Il est important de bien différencier la mentalité des compétences. Quelqu’un qui a une mentalité de joueur de Ligue B est très difficile à transformer en joueur de Ligue A, bien que certains y parviennent, mais c’est très rare.

Si vous voulez réussir, prospérer, évoluer et avoir une vie où vous pouvez vous lever en disant “oui, j’ai une équipe au top, je peux compter sur eux et ils sont compétents”, vous devez devenir extraordinaire dans le recrutement de joueurs de Ligue A.

Pour cela, il y a deux éléments que vous devez maîtriser.

Premier élément pour bien recruter : le système de recrutement

Le premier est un système de recrutement efficace. Dans tous nos recrutements, nous avons un système avec 17 étapes qui permet de maximiser nos chances de recruter un joueur de Ligue A qui colle à nos valeurs.

Deuxième élément pour bien recruter : la culture

Le deuxième élément fondamental est d’avoir une culture puissante. Une culture est un code de valeurs qui définit comment les choses fonctionnent chez nous. La plupart des entreprises et entrepreneurs à ce niveau-là n’ont pas créé de culture, ce qui mène au chaos et à l’absence de principes et de valeurs clairement définis et respectés.

Plus l’entreprise grandit, plus cela devient le bazar, et parfois, l’entreprise implose. Il est crucial d’avoir un code de valeurs clair et de le faire respecter, afin de créer un environnement où les gens veulent travailler ensemble et où il y a un niveau de performance élevé.

Par exemple, dans notre entreprise, nous avons une culture de performance. Nous ne sommes pas là pour nous tourner les pouces, mais pour contribuer. Nous avons vraiment à cœur d’aider les gens. Les personnes qui veulent juste faire leur job, toucher leur chèque à la fin du mois et se fichent des clients ne sont pas les bienvenues chez nous.

Nous sommes animés par le désir de faire une différence dans la vie de nos clients. Nos valeurs fortes sont la bienveillance : nous voulons le bien pour nos clients, nous nous respectons et nous nous parlons avec bienveillance. La critique constructive est plus que bienvenue chez nous, tandis que la critique négative, parler dans le dos, faire des triangulaires, etc., ne sont pas tolérés. Quelqu’un qui fait cela chez nous est rapidement écarté.

Vous avez sûrement vu cela chez certaines entreprises. Chez nous, c’est l’excellence, le service, et le sourire. Mais en réalité, quand vous entrez dans l’entreprise, c’est tout sauf ça. Donc, c’est facile de mettre des mots sur un tableau, mais c’est plus important de faire respecter ces mots-là.

Une culture puissante n’a pas besoin de mots pour être rappelée, les gens vivent les valeurs.

Vous, en tant que chef d’entreprise et dirigeant, avez un rôle fondamental : recruter les bonnes personnes, les mettre à la bonne place et de faire respecter votre code de valeurs. L’objectif est qu’il y ait une culture de respect, de bienveillance et de performance qui permette d’accomplir vos objectifs tous ensemble.

Troisième compétence : mettre en place des structures et des processus

Si vous voulez apprendre à être libre et arrêter d’être dans l’opérationnel, vous devez apprendre à travailler sur votre business et être libre financièrement. Vous devez apprendre à mettre des processus et des systèmes en place.

Qu’est-ce qu’un processus ? Ce n’est rien d’autre qu’une checklist clairement communiquée, si possible visuelle, qui explique comment faire une tâche du point A au point B.

Cela vous permet d’éviter de répéter sans cesse comment faire une tâche. Si un membre de votre équipe se casse une jambe et doit partir à l’hôpital pendant trois semaines, il y a quelqu’un qui doit prendre son rôle. Vous n’avez pas à passer trois jours à tout lui expliquer.

Quand vous avez un processus clairement communiqué, votre entreprise peut prendre la relève, regarder le processus, les vidéos, la checklist, et pouvoir faire la tâche très rapidement. Cela vous permet d’éviter de vous essouffler, de quadrupler, voire de multiplier par dix votre productivité. Cela vous permet de vous libérer de faire constamment les mêmes choses, et donc, de scaler.

Les processus et les systèmes sont le grand secret pour scaler.

Vous devez absolument éviter de tomber dans une usine à gaz. Faites en sorte que vos processus et vos systèmes soient simples et qu’un enfant puisse comprendre.

Une des choses à faire est donc de vous poser et de vous demander : “Ok, qu’est-ce que je fais sans cesse dans notre entreprise ?

Vous devez mettre en place des processus pour chaque tâche répétitive. Par exemple, pour créer une vidéo YouTube, il est important d’avoir un processus clair. Vous devez avoir des processus de recrutement, des processus d’acquisition, des processus de livraison, etc.

Ce n’est pas si compliqué que cela. C’est fondamental pour apprendre à dormir sur vos deux oreilles, vous sentir serein et pouvoir évoluer de manière solide.

En mettant des processus et des systèmes en place, votre entreprise devient beaucoup plus vendable et attractive pour un investisseur. Si un investisseur entre et tout est dans la tête du dirigeant, c’est paniquant pour lui.

Mais des processus et des systèmes bien mappés, clairement identifiés et définis, c’est beaucoup plus rassurant. Simplement en mettant des processus et des systèmes en place, vous pouvez littéralement doubler la valorisation de votre entreprise.

Quatrième compétence : mettre en place des tableaux de bord

Si vous voulez piloter avec succès, vous avez besoin d’un tableau de bord.

Tellement d’entreprises pilotent sans tableaux de bord et font plusieurs millions d’euros de chiffre d’affaires.

Vous devez avoir deux types de tableaux de bord :

  • un tableau de bord business (ce qui génère le chiffre d’affaires)
  • et un tableau de bord financier.

Par exemple, les tableaux de bord business peuvent inclure le nombre de leads, le panier moyen, la fréquence d’achat, le nombre de visites sur le site internet, le nombre de personnes qui laissent leurs coordonnées via un formulaire, etc.

Les tableaux de bord financiers peuvent inclure vos marges, votre cash flow, votre niveau de profit par client, etc.

Vous devez savoir ce qui se passe dans votre entreprise.
Si vous avez un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros, peut-être que vous avez entre 1 million et 2 millions de coûts. Vous devez savoir où passe vos coûts.

Quand vous investissez 300 000 € en publicité, vous devez savoir si c’est rentable. Vous devez savoir quels sont les produits les plus rentables. Si vous n’avez pas cette visibilité, il y a de fortes chances que vous mettiez beaucoup d’énergie sur un produit A qui ne génère pas d’argent, voire qui vous coûte de l’argent, alors que vous avez un produit B qui a de belles marges de 50 à 60 % et vous ne mettez que 2 % ou 10 % d’énergie dessus.

Le jour où j’ai eu mes tableaux de bord, j’ai vu la réalité dans mon business et c’était choquant de voir que ce que je croyais était totalement faux. Je pensais que tel produit était très rentable alors qu’il ne l’était pas.

Mettez votre énergie sur un produit qui rapporte et peu d’énergie sur un produit peu rentable. En un an, votre trésorerie risque d’évoluer positivement !

Si vous n’avez pas de tableau de bord, vous pilotez à l’aveugle et vous êtes en danger. C’est ainsi que vous pouvez faire x5 ou x10 de vos résultats.

Vous serez plus serein parce que vous savez ce qui se passe.

Cet élément fait la différence entre les amateurs et les pros dans le business. Toutes les entreprises à succès qui ont réussi ont des tableaux de bord et mesurent chaque jour, chaque semaine, chaque mois ce qui se passe dans leur entreprise.

Cela leur permet d’avoir un feedback et de pouvoir regarder ce qui se passe réellement, de prendre des décisions stratégiques au fur et à mesure. Cela permet d’augmenter leur chiffre d’affaires, leurs bénéfices et bien sûr leur cash flow.

Un autre élément est totalement contre-intuitif : le plus vous grandissez, le moins vous devez faire de choses. On a tendance à croire que plus on grandit, plus il faut faire de choses, et on fait souvent une grosse erreur à ce niveau-là.

Vous pouvez penser qu’il faut absolument lancer plein de produits, alors que le grand secret est de lancer ou de se focaliser sur une seule chose. Focaliser toute l’entreprise sur une stratégie spécifique.

Quelle est la chose, le “one thing”, qui va faire toute la différence ? Quelle est la stratégie sur laquelle vous allez vous focaliser pour augmenter les résultats le plus vite possible avec le minimum d’effort ?

Vous avez tellement de possibilités. En ayant de l’argent, vous pouvez réinvestir et recruter. Ce n’est pas le moment de lancer 40 initiatives et de recruter 70 personnes.

Atteindre toujours plus en travaillant intelligemment

C’est le moment de vous focaliser et de vous poser une grande question : quelle est la chose qui va nous amener par exemple de 5 à 10 millions, puis de 10 millions à 20 millions, puis de 20 millions à 40 millions ?

À ce niveau-là, plus vous montez, plus vous êtes vraiment en position de CEO.

Vous devez apprendre à vous libérer totalement de l’opérationnel. À 2 ou 3 millions, c’est acceptable de faire quelques opérationnels. Mais à 5, 6, 7 ou 10 millions, vous ne faites plus d’opérationnel.

Votre boîte doit tourner avec ou sans vous, avec votre équipe, vos processus et vos systèmes. Si vous ne faites pas cela, vous allez bloquer à 3 ou 4 millions.

Une des étapes les plus difficiles est le passage des 2 à 3 millions.

J’ai stagné pendant 3 ans à ce niveau-là parce qu’il me manquait les compétences nécessaires. On a de l’argent, mais pas assez pour recruter des personnes top. En même temps, il nous faut ces personnes top pour progresser. On n’a pas les processus et les systèmes en place, donc on est constamment en train de répéter les mêmes tâches.

À ce niveau, une des choses fondamentales est de mieux organiser son temps, de développer des compétences pour pouvoir focaliser son énergie sur ce qui va générer le maximum de résultats. Cela permet alors de bien recruter et de mettre en place les processus et les systèmes qui vous libèrent, permettant ainsi de scaler votre business et de dépasser les 10 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Vous ne voulez pas avoir 10 millions d’euros de chiffre d’affaires avec 1 million d’euros de dettes ?

Vous voulez faire en sorte d’avoir 10 millions d’euros de chiffre d’affaires et avoir 1 million, 2 millions, 3 millions, 4 millions, 5 millions de bénéfices.

À ce niveau-là, quand on parle de projet ou de stratégie ou de tâches, vous faites peut-être 5-10 % du travail.

Votre rôle majeur est d’utiliser intelligemment votre temps, et le rôle le plus important est de travailler sur votre entreprise. Travailler sur la partie organigramme, recruter au bon moment, mettre les bonnes personnes en place, vérifier si vos processus et vos systèmes sont bons, si votre culture d’entreprise est top et correctement respectée, et définir la stratégie qui vous permettra de faire x5, x10 dans les prochaines années.

Divisez votre temps ainsi :

  • 33 % du temps à recruter ou à former vos équipes,
  • 33 % à améliorer vos processus de marketing et de vente,
  • 33 % de votre temps à vous former.

L’élément numéro 1 est de consacrer 33 % de votre temps à vous former, à prendre de la perspective, à pouvoir discuter avec un mentor, un mastermind, pour prendre de la hauteur.

Posez-vous cette question majeure : quelle est la chose qui va faire en sorte que l’aiguille du compteur de résultats va bouger le plus vite possible dans les prochains mois ou années ?

Votre équipe compte sur vous pour que vous preniez les bonnes décisions afin que vous puissiez ensemble réussir et prospérer.

Si vous faites correctement les choses et développez ces compétences, vous allez dépasser la barre des 10 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Développez l’expérience et la compétence qui vous permettent de passer à travers tous ces éléments et d’avoir une entreprise qui continue de croître d’année en année.

À très vite,
Max

Comment passer de 0 à 100 000 euros de chiffre d’affaires ?

Voilà le parcours exact à suivre pour atteindre 100 000 euros de chiffre d’affaires en partant de zéro.

Le but est simple : atteindre la barre des 10 millions ! Mais il y a une règle : il faut avoir validé chaque étape pour passer à la suivante. Et pour ce faire, il y a des critères très précis que nous allons voir au fur et à mesure : de 0 à 100 000, de 100 000 à 1 million et d’1 million à 10 millions.

N’hésitez pas à vous inscrire à notre séminaire pour entrepreneurs.

Premier palier : de 0 à 100 000 euros !

Le premier palier à atteindre est de 0 à 100 000 € de chiffre d’affaires annuel.

Cette étape de 0 à 100 000 est de loin la plus difficile. La raison est qu’à ce moment-là, quand on débute, on a zéro compétence, zéro connaissance, zéro réseau, et souvent un grand manque de confiance en soi.

Prenons l’analogie d’une fusée. Pour faire décoller une fusée, il faut environ 80 % d’énergie. Des grands tubes d’hydrogène sont utilisés pour faire décoller la fusée de quelques mètres. Les 20 % restants servent à passer dans la stratosphère, et ensuite, il n’y a littéralement presque plus besoin d’énergie, car on a un business qui tourne.

C’est ce que vous voulez atteindre : avoir un business en orbite.

Vous devez apprendre à faire décoller cette fusée, et cela nécessite de l’effort, du focus, de la concentration et de l’énergie.

Première compétence : zéro égo !

zero ego

Il y a trois compétences majeures à développer.

La première compétence, la plus importante au début, est de mettre son ego de côté. Appelons cela le “zéro ego”. C’est très difficile à atteindre, mais c’est fondamental. Si vous n’êtes pas capable de mettre votre ego de côté, vous n’allez jamais pouvoir croître.

Pour démarrer une entreprise, vous devez avoir confiance en vous, et suffisamment de confiance pour dire : “J’ai réalisé des choses dans le passé, donc je sais que je suis capable de faire ça.”

C’est une conviction très importante. Il y a une différence entre avoir confiance en soi et avoir un ego qui nous bloque vers la réussite. Avoir confiance en soi est vital, mais souvent, l’ego va nous jouer des tours.

Par exemple, vous pouvez affirmer que vous étiez bon au basket-ball à 14-15 ans, mais ne pas être bon pour développer ce business.

Or souvent, l’ego dit : “Oui, moi, je suis quelqu’un d’extraordinaire, j’ai réussi des choses dans le passé, alors je n’ai pas besoin d’apprendre quoi que ce soit. Je vais y arriver parce que j’ai juste un talent inné.”
Par exemple, peut-être que vous étiez directeur dans une banque, médecin, cadre dans une entreprise, ou peut-être une mère extraordinaire (et vous l’êtes toujours). Ce n’est pas parce que vous êtes une mère extraordinaire ou un excellent cadre ou un directeur dans une banque que vous allez réussir dans une entreprise.

Il vous faut des compétences nouvelles. Vous devez développer de nouvelles compétences pour réussir. Vous devez adopter ce qu’on appelle un état d’esprit de croissance. Le talent pour développer une entreprise à succès représente seulement 5 à 10 %. Tout le reste repose sur les compétences.

Savoir se remettre en question est fondamental. Vous pouvez perdre du temps en tentant de vous convaincre que vous êtes extraordinaire avec des affirmations. Il n’y a rien de mal à avoir des affirmations, mais au lieu de simplement vous dire “Je suis extraordinaire, je vais y arriver”, passez du temps à développer vos compétences et vos connaissances pour réussir.

Votre niveau de confiance en vous augmente avec votre niveau de compétences et de connaissances.

Si vous n’avez pas encore le succès que vous voulez, si vous n’avez pas encore atteint les 10 millions d’euros de chiffre d’affaires, ou peut-être les 20 ou 30 millions d’euros, c’est parce qu’il vous manque des compétences et des connaissances.

Au lieu de vous plaindre ou de blâmer les autres, essayez de vous prouver à vous-même que vous êtes quelqu’un de talentueux, mais que vous devez aussi vous remettre en question. Regardez-vous dans le miroir et dites-vous : “Il faut que je change, il faut que j’investisse en moi, il faut que je me développe, il faut que je devienne meilleur.”

Vous pouvez être quelqu’un de top, et vous l’êtes déjà, mais maintenant, vous devez développer des compétences de haut niveau.

Donc, vous l’avez compris : zéro ego.

Deuxième compétence : savoir vendre et marketer

vendre

La deuxième compétence à développer pour avancer sur ce chemin de 0 à 100 000 euros : savoir vendre et marketer.

Vous pouvez avoir le meilleur produit du monde, le meilleur service du monde, être le meilleur consultant, mais si vous ne savez pas le vendre et le marketer, vous allez rester fauché.

Beaucoup d’entrepreneurs que je vois démarrer se disent : “J’ai des super produits, je vais créer un site d’e-commerce.” Ils passent un an à travailler jour et nuit pour avoir un site magnifique avec des produits exceptionnels. Ensuite, ils pensent que les internautes vont acheter, ils publient leur site internet, mais après un jour, deux jours, trois jours, il n’y a toujours pas de ventes.

Si vous ne savez pas le marketer, si vous ne savez pas le vendre, personne n’achètera. Il y a des millions de sites sur internet, il faut être capable de montrer que vous existez et d’attirer du trafic sur votre site.

De même, si vous avez une épicerie fine à Paris avec les meilleurs produits du monde, venant d’Italie, d’Espagne, de Scandinavie, mais s’il n’y a personne qui entre dans votre magasin, personne n’achètera. Et une fois qu’ils entrent dans le magasin, vous devez être bon pour vendre vos produits et services.

Le marketing consiste à se faire connaître et attirer les clients vers votre magasin.

La vente consiste à convertir un prospect en client avec un système de vente efficace.

C’est une compétence fondamentale que tout chef d’entreprise, tout entrepreneur doit apprendre et développer.

Au début de ma carrière entrepreneuriale, à l’âge de 21 ans, j’étais vraiment mauvais en vente et en marketing. Je ne connaissais rien. Il n’y a personne qui naît vendeur, et vous n’avez pas besoin d’être extraverti pour réussir. Je connais des introvertis qui vendent beaucoup mieux que des extravertis simplement parce qu’ils ont de meilleures compétences.

Quand j’ai commencé à vendre mes produits, c’était une catastrophe. Personne ne voulait acheter car je n’avais pas de méthode de vente, je ne savais pas comment marketer, comment faire une offre irrésistible.

J’avais la mauvaise attitude de penser que c’était la faute des autres si les gens ne comprenaient pas mon produit ou s’ils ne l’achetaient pas.

Vous pouvez chercher des excuses autant que vous voulez, si les gens n’achètent pas, soit votre produit ne leur convient pas, soit vous n’êtes pas assez bon en marketing et en vente.

J’ai commencé à me former, à lire des livres, à suivre des formations, à avoir un mentor, et petit à petit, j’ai appris jusqu’à devenir très compétent dans ce domaine. Cette compétence de savoir marketer et vendre m’a permis de passer de zéro à générer des dizaines de millions d’euros dans ma carrière.

Apple peut avoir un super produit comme l’iPhone, mais ils sont également très forts pour le marketer et le vendre.

Sur une échelle de 0 à 10, où en êtes-vous dans ce domaine ? À 0 : vous êtes une catastrophe en marketing et vente, et 10 : vous êtes un expert. Prenez un moment pour évaluer votre niveau actuel, c’est important de savoir où vous en êtes et de vous engager à vous améliorer.

Troisième compétence : savoir se discipliner

homme discipline

Maintenant, passons à la compétence numéro 3 pour passer de 0 à 100 000 € de chiffre d’affaires : savoir se discipliner.

À l’école, le système nous a disciplinés. Nos parents nous ont forcés à nous lever à 6h30 du matin, à prendre notre douche, à nous dépêcher, malgré la fatigue, pour aller à l’école.

Quelque chose d’extérieur nous a poussés à faire les choses.

À l’école, les professeurs nous ont demandé d’être sages comme des images, assis devant un mur, sans pouvoir sortir quand on en avait envie. Ainsi, la discipline est devenue quelque chose imposée de l’extérieur, et c’est pourquoi souvent, on n’aime pas ce terme.

Il y a une différence entre une discipline imposée de l’extérieur, contre notre gré, et une discipline que l’on s’impose à soi-même. Maintenant, cela peut sembler étrange, mais si vous voulez être libre, vous devez développer un niveau de discipline hors norme, une discipline que vous vous imposez.

Après 15, 20, 25 ans dans le système scolaire, les personnes entrent dans le monde du travail, où il y a encore un système qui les discipline : ils doivent arriver à l’heure, respecter leur pause déjeuner, etc. Ce cadre les aide à se discipliner, et il n’y a rien de mal à cela, car la plupart des personnes ont besoin d’un cadre et d’un système pour se discipliner.

La raison en est que le cerveau est par nature un fainéant cognitif, comme le disent les psychologues, et le cerveau reptilien, à la base de notre tronc cérébral, est orienté vers le plaisir, la nourriture, les besoins corporels et la reproduction. Biologiquement, nous devons donc apprendre à nous discipliner.

Si vous voulez créer une entreprise à succès, vous devez apprendre à vous discipliner vous-même. Souvent, on voit quelqu’un qui a passé 20 à 25 ans dans le système scolaire et peut-être 10 à 20 ans dans une entreprise avec un cadre disciplinaire.

Maintenant, s’il démarre son entreprise, il se retrouve soudain livré à lui-même. C’est très tentant de perdre du temps, de passer des heures sur les réseaux sociaux, de regarder une série sur Netflix ou de manger plutôt que de commencer à travailler. Cette liberté est géniale.

Je me souviens quand j’avais 21 ans et que j’avais tout ce temps libre. C’était incroyable de voir à quel point j’étais peu productif, manquant de discipline, sans personne pour me dire ce que je devais faire.

Mais lorsque vous allez vouloir faire décoller votre business, cela ne va pas fonctionner si vous n’êtes pas discipliné.

Mes premières ventes sont arrivées, et ça ne décollait pas. À un moment donné, pour gagner ma vie rapidement, j’ai dû trouver un travail à temps partiel juste pour payer mes factures. J’ai travaillé en sous-traitance pour La Poste et j’ai travaillé en intérim la nuit dans une usine en Alsace. Mais de manière intéressante, lorsque j’ai pris ce travail à temps partiel, j’étais beaucoup plus productif dans mon entreprise. Bizarrement, avec deux fois moins de temps disponible, j’étais deux à trois fois plus productif.

L’idée n’est pas de vous dire que vous devez reprendre le travail. Souvent, lorsque nous avons du temps libre auquel nous ne sommes pas habitués, nous le gaspillons en brassant de l’air et en tournant en rond.

Ayez la discipline de vous dire : “Maintenant, je prends ce téléphone et j’appelle.” Il faut du temps pour développer cette discipline, celle de passer à l’action, de vendre et de marketer.

Quand vous êtes à cette étape, vous devez faire une chose : vendre et marketer.

Cela peut être :

  • d’appeler tous vos amis pour leur demander des recommandations sur votre produit ou service,
  • établir des partenariats pour obtenir des recommandations,
  • poster du contenu sur les réseaux sociaux pour faire connaître vos produits ou services,
  • ou encore faire de la publicité.

Le moyen le moins cher, le plus rapide et le plus efficace au début est de faire une liste de 100 à 200 personnes parmi tous ceux que vous connaissez.

Rappelez-vous qu’eux aussi connaissent 100 à 200 personnes.

Quand vous démarrez, une fois que vous avez pris votre décision de réussir, engagez-vous à fond. Mettez votre ego de côté et engagez-vous à réussir. Passez des coups de fil, 50, 100, 150 par jour.

Vous devez être fier de vendre et de marketer. Vendre, c’est servir.

Il y a souvent cette croyance autour de la vente selon laquelle si on vend, on arnaque. Mais si vous avez un produit ou service de qualité, vous n’êtes pas en train d’arnaquer, vous êtes en train d’aider.

Si vous croyez que votre produit ou service peut vraiment aider les autres, vous avez un devoir moral de vendre.

Que faire pour passer de 0 à 100 00 euros ?

argent

Pour récapituler : comment passer de 0 à 100 000 euros ? Mettre son ego de côté, commencer à se dire que ce n’est pas une honte de vendre et de marketer, au contraire, c’est bénéfique, c’est pour aider des gens.

Faites ce changement. Commencez à passer des coups de fil, à vous vendre, à commencer à parler. Envoyez des messages privés sur les réseaux sociaux.

Mettez-vous en action. Disciplinez-vous dans l’action, que vous en ayez envie ou non. C’est ça, la vraie notion de discipline : que vous le ressentiez ou non, vous le faites.

Une anecdote qui illustre vraiment cela, c’est Kobe Bryant. Kobe Bryant était le deuxième Michael Jordan.

Il a dit dans une interview : “Quand je prépare ma condition physique pendant l’été, je m’organise et je signe un contrat avec moi-même que je vais le faire, coûte que coûte, que j’en ai envie ou non. C’est le programme, c’est le plan, je vais le faire.

Et c’est ce qui le distinguait, c’était le meilleur joueur de la NBA.

Plus vous avez un niveau de discipline personnelle élevé que vous choisissez et non qu’on vous impose, plus vous serez fier de vous. La fierté de pouvoir se regarder dans le miroir et se dire “j’aime ce que je vois en face de moi, je suis fier de qui je suis” vaut tout l’or du monde.

Abordons maintenant quelques clés fondamentales pour pouvoir exploser ce compteur de chiffre d’affaires.

Conseil n°1 : le concept “un produit, un avatar, un tunnel”

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Une chose que vous devez absolument faire est de suivre le concept : un produit, un avatar, un tunnel. Souvent, l’erreur que l’on peut voir chez les entrepreneurs qui ne sont pas encore à 100 000 euros, qui en sont vraiment au démarrage, c’est qu’ils commencent à faire trop d’offres, trop de produits, à essayer de viser trop d’avatars.

Qu’est-ce qu’un avatar ? C’est votre client idéal.

Pour pouvoir décoller, même jusqu’à un million d’euros, il vous faut un avatar. Vous devez vous focaliser sur un client idéal que vous devez connaître par cœur. Vous devez savoir à qui vous vous adressez. On ne parle pas juste d’une femme ou d’un homme, on parle de leur âge, leurs intérêts, leurs besoins spécifiques. Certains vont même jusqu’à leur donner un nom.

Vous devez viser un client idéal, car tous les clients ne se valent pas. Le secret pour pouvoir rapidement décoller et être prospère, c’est de ne pas viser large, mais de viser de manière spécifique, un avatar. Ensuite, vous créez un produit pour résoudre le problème de cet avatar, pas 40 produits, un seul produit. Et puis, vous devez avoir un tunnel d’acquisition ou un tunnel de vente qui va vendre ce produit à cet avatar : un avatar, un produit, un tunnel.

Conseil n°2 : créer un changement d’identité

conseil 2

Un autre élément fondamental pour passer de 0 à 100 000 euros, c’est de créer un changement d’identité. Il s’agit d’arrêter de se percevoir comme un gentil petit garçon ou une gentille petite fille, ou un bon salarié qui suit bien les règles.

Vous devez développer une nouvelle identité, un vrai changement de paradigme, et commencer à vous voir comme un homme ou une femme d’affaires, comme un entrepreneur à succès. Ce changement-là est fondamental.

C’est tellement important parce que tant que vous ne changez pas d’identité, vous ne changerez pas vos résultats. Votre identité dicte vos actions, qui vont dicter vos résultats.

Tant que vous vous voyez comme quelqu’un de gentil qui suit bien les règles de tout le monde, vous n’allez pas devenir un entrepreneur à succès. Vous devez vous percevoir comme un leader confiant, sage, homme ou femme d’action, qui apprend et se remet en question tout le temps, qui développe des compétences en permanence, qui a un niveau de résilience élevé, qui ne lâche jamais et s’engage à réussir coûte que coûte.

Vous devez vous percevoir comme un leader, quelqu’un que l’on a envie de suivre, qui sait où il va.

Quelle est votre identité en ce moment, et quel est le changement de paradigme qui doit s’opérer pour que vous commenciez à vous voir comme un homme ou une femme d’affaires à succès ?

À cette étape-là, il y a ce concept de syndrome de l’imposteur. Une grosse erreur que font la plupart des entrepreneurs et chefs d’entreprise, c’est qu’ils omettent la partie développement personnel.Alors que c’est la chose la plus importante.

Vous êtes la limite de votre entreprise. Si vous vous voyez petit, si vous avez des croyances limitantes et beaucoup de peurs, la peur du regard des autres, la peur du jugement, cela vous bloque et vous limite. Votre entreprise va être bloquée avec vous.

Vous devez bien sûr avoir un objectif d’atteindre les 100 000, le million, les 10 millions, mais il faut surtout travailler à devenir la personne qui a la capacité d’atteindre ces objectifs. Si vous voulez avoir plus, vous devez devenir plus.

Conseil n°3 : suivre le code PMC

conseil 3

Pour passer de 0 à 100 000 euros de chiffre d’affaires, et même à un million d’euros de chiffre d’affaires, il y a quelques éléments à connaître. Premièrement, vous devez suivre le code de PMC (Passion, Mission, Clientèle).

“P” représente votre Passion ou souvent votre talent. Qu’est-ce que vous êtes capable de faire tout le temps, que vous aimez tellement que vous seriez prêt à le faire gratuitement ? Vous ne le ferez pas gratuitement, mais qu’est-ce que vous aimez tellement que vous seriez prêt à le faire gratuitement ? Si votre concurrence n’est pas passionnée par ce qu’elle fait et que vous êtes passionné, vous avez un avantage ultime. Vous êtes capable de travailler bien plus et cela ne semblera pas être du travail. Quand vous êtes passionné, vous ne travaillez vraiment jamais.

Le deuxième “M”, c’est le marché. Est-ce qu’il y a un marché pour votre passion ? Vous pouvez être passionné de domino, mais est-ce qu’il y a un marché où les gens achètent pour des millions, voire des milliards de dominos ? Vous devez être certain d’avoir un marché d’acheteurs en face de vous, prêts à acheter vos produits.

Et finalement, “C”, votre niveau de compétence. C’est moins problématique parce que vous êtes capable d’augmenter votre niveau de compétence.

Quand vous êtes à la croisée de la passion, du marché et des compétences, c’est là où vous allez trouver la caverne d’Alibaba et un grand trésor.

Conseil n°4 : faire un bon système d’acquisition

conseil 4

À cette étape, vous devez faire un bon système d’acquisition. Quel est le bon système qui va générer des clients en continu ? Est-ce que c’est le bouche-à-oreille ? Est-ce que ce sont les partenariats ? Est-ce que c’est la publicité, les réseaux sociaux, ou un mix de tout cela ? Qu’est-ce qui va vous permettre d’attirer des prospects et les convertir en clients ?

Vous devez apprendre à faire ce qu’on appelle une offre irrésistible. Comment faire en sorte que quand vos prospects entendent votre offre, ils se sentent stupides de ne pas la prendre ?

Vous devez apprendre à délivrer un excellent service. C’est bien de vendre, mais assurez-vous que la livraison soit excellente, que les clients soient contents, que vous puissiez délivrer en temps et en heure ce que vous avez promis.

Il est aussi important d’apprendre à communiquer votre crédibilité et de développer cette crédibilité. Par exemple, si vous avez vraiment zéro expérience, zéro connaissance dans le domaine, la première chose à faire est de développer des compétences et des connaissances.

Générer vos premiers clients est crucial. Vous pouvez même travailler gratuitement pour vos premiers clients en disant : “Voilà, je vais travailler gratuitement, vous n’avez rien à payer. Tout ce que je vous demande, c’est qu’au bout de X mois ensemble, si vous êtes satisfaits, vous me laissez un témoignage et vous me recommandez à trois personnes.”

À ce moment-là, vous travaillez beaucoup pour développer vos compétences et connaissances, pour délivrer et créer des clients heureux. Ensuite, c’est un deal entre vous : ils vous recommandent et vous font un témoignage. Vous faites cela avec 10 clients.
Au bout de 3 mois, vous avez 10 témoignages et 30 recommandations. À ce moment-là, vous commencez à facturer, et là vous êtes naturellement crédibles parce que vous avez 10 témoignages qui disent “cette personne est géniale” ou “ce produit est super”.

Voici encore trois secrets pour passer de 0 à 100 000 euros.

Éviter de tomber dans le syndrome de l’objet brillant

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Le premier, c’est d’éviter de tomber dans le syndrome de l’objet brillant.

Quand ça devient difficile, on a tendance à se dire : “Ah, je vais faire un autre truc qui va être plus facile, ça va être mieux, je vais démarrer un nouveau business.”

Et vous retombez dans le même cycle. Vous n’arrivez pas à surmonter toutes les difficultés, puis d’un coup vous démarrez et vous focalisez sur votre business principal.

Que se passe-t-il ? Au bout de 3 à 4 mois, vous réalisez que c’est beaucoup plus difficile que ce que vous pensez, que ça coûte plus et prend plus de temps que prévu. Résultat : votre deuxième business ne décolle pas, et le premier est en train de descendre. Grosse erreur. Un grand secret : restez focus.

Développer une raison d’être

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Le deuxième élément fondamental pour une entreprise, même par la suite, c’est de développer votre raison d’être. Quelle est votre raison d’être ?

Qu’est-ce qui fait que vous vous levez le matin ? Qu’est-ce que vous voulez laisser derrière vous une fois que vous allez quitter cette terre ? Pour réussir une entreprise, vous devez avoir un pourquoi puissant, pas seulement un but monétaire, mais un but qui va faire que vous allez créer une différence dans ce monde et laisser une trace.

Mesurer ses KPI

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Il y a quatre KPI à mesurer. Le KPI est un Key Performance Indicator. C’est un indicateur clé de performance. Plus vous les améliorez, plus vos résultats vont monter.

Ces quatre KPI sont :

  • nombre de leads,
  • nombre de clients,
  • panier moyen
  • et pourcentage de conversion.

Vous devez les mesurer constamment. Plus vous améliorez ces quatre KPI, plus vos résultats vont s’améliorer.

Quelqu’un qui n’a aucune compétence, aucune connaissance, restera bloqué. Ça ne décolle pas, et souvent cela devient un frein. Il démarre son business, et abandonne au bout de 3 à 6 mois.

Maintenant que vous avez toutes les clés et appris toutes les compétences, vous pouvez améliorer votre business de la meilleure des façons.

À très vite,
Max

Avoir un mentor : tous les bénéfices

Lorsque l’on débute dans l’entrepreneuriat, on traverse souvent une longue période de solitude, que j’appelle la traversée du désert.

On se sent trop différent pour être en phase avec la majorité de nos amis, et en même temps, on est encore trop loin de nos objectifs pour accéder aux entrepreneurs et chefs d’entreprise à succès. Heureusement, il existe une solution simple pour accélérer ce processus et transformer cette traversée du désert en une traversée d’oasis : avoir un mentor qui vous guide pas à pas.

N’hésitez pas à vous inscrire à notre séminaire pour entrepreneurs.

Tous les plus grands ont eu un mentor !

mentor

Aucun succès impressionnant, quel que soit le domaine, n’a été atteint sans mentor.

Que ce soit dans le sport, la musique ou les affaires, les mentors ont toujours été présents. Par exemple, Michael Jordan avait deux mentors : Doct G, le plus grand joueur de basketball avant lui, et son coach Phil Jackson. Elon Musk a été mentoré par Peter Thiel, et Richard Branson par Freddy Laker.

Faire appel à un mentor bienveillant et capable de transmettre les clés du succès de manière simple peut faire toute la différence entre l’échec et le succès de votre entreprise. Par expérience, c’est le moyen le plus rapide d’atteindre ses objectifs.

Démarrer dans l’entrepreneuriat ou gérer une entreprise, c’est comme traverser une jungle. Sans guide, les risques de tomber dans un marécage, de se faire dévorer par un crocodile ou de recevoir une noix de coco sur la tête sont très élevés.

Un mentor, qui connaît cette jungle depuis des années, peut vous avertir des dangers, vous indiquer les bons chemins et vous permettre de trouver des ressources cruciales.

En ayant un guide expérimenté, vous vous sentirez non seulement plus serein, mais vous augmenterez aussi vos chances de succès. Vous pourrez sortir de la jungle vivant, trouver les trésors qu’elle recèle et même passer un merveilleux moment.

Les cinq transformations clés d’un mentor

Malheureusement, de nombreux entrepreneurs négligent l’importance d’un mentor, ce qui est une grave erreur. Cependant, il est crucial de trouver le bon mentor. Voici pourquoi il est primordial que vous trouviez, vous aussi, votre propre Phil Jackson.

Un bon mentor peut offrir cinq transformations clés.

Transformation n°1 : l’accélération de l’apprentissage

mentor apprentissage

Le succès est défini par ceux qui savent plus de choses ou les bonnes choses. En augmentant vos connaissances et compétences, vous augmentez vos chances de réussite. Vous allez être plus heureux. C’est pourquoi il est important d’investir massivement dans votre développement personnel.

Retenez cette phrase : si vous trouvez que l’éducation est chère, essayez l’ignorance. C’est dur, mais c’est tellement vrai.

L’éducation traditionnelle nous apprend beaucoup de choses inutiles. On nous apprend à lire et à calculer, des étapes essentielles, et bien plus. Cependant, les compétences pratiques en affaires, en marketing, en vente et en gestion financière sont essentielles pour réussir. De plus, les compétences interpersonnelles et le développement personnel sont cruciaux pour augmenter vos revenus et le succès de votre entreprise.

Apprendre est important, mais savoir implémenter ce que l’on apprend est essentiel. Les mentors vous montrent comment appliquer concrètement les connaissances pour obtenir des résultats. Ensuite, investir en soi offre toujours le meilleur retour sur investissement. Pendant que certains regardent des séries Netflix, investir du temps et de l’argent dans des formations, dans des séminaires et des mentors peut rapporter 10, 20, voire 30 ou 40 fois plus.

Retenez cela également. Warren Buffet a dit : investir en soi vous offrira toujours le meilleur retour sur investissement.

Les débuts de Max : quelques exemples

Au début de ma carrière d’entrepreneur, je n’ai pas hésité à investir en moi-même. Dès que je gagnais un peu d’argent, je réinvestissais presque tout dans des mentors qui pouvaient me transmettre leur savoir.

Par exemple, à mes débuts en tant que coach, j’ai investi 15 000 dollars dans une formation aux États-Unis avec Jack Canfield, un ami et mentor exceptionnel, auteur de “Bouillon de poulet pour l’âme”. En trois sessions de cinq jours, il m’a transmis 30 ans d’expérience en seulement 15 jours.

C’est tellement intelligent. Et c’est le pouvoir d’un mentor : il peut vous transmettre des années d’expérience de manière simple et concrète en quelques jours. Cet investissement a été extraordinaire, car un excellent mentor vous enseigne non seulement les bonnes pratiques, mais aussi les erreurs à éviter, celles qui peuvent tuer votre entreprise ou vous coûter très cher à long terme.

Un autre exemple marquant est mon investissement dans un Mastermind aux États-Unis. Je me rendais à Austin, Texas, trois fois par an pour des sessions de trois jours, coûtant environ 35 000 dollars, sans compter les frais de voyage.

À l’époque, mon entreprise avait des marges décentes mais ne décollait pas vraiment. Lors d’une de ces sessions, en discutant avec mon mentor et les autres participants, ils m’ont fait réaliser que mon entreprise, qui générait environ un million de dollars, n’avait pas besoin d’un directeur financier (CFO), ce qui est nécessaire pour des entreprises beaucoup plus grandes.

Ce CFO me coûtait 10 000 euros par mois, une somme qui grugeait mes bénéfices. J’ai pris la décision, sur les conseils de mon mentor, de me séparer de mon CFO et de le remplacer par un comptable. Ce simple conseil a doublé mes bénéfices, me permettant ainsi de réinvestir ces économies dans la croissance de mon entreprise.

Cette erreur, que j’avais commise pendant plusieurs années, m’avait coûté des centaines de milliers d’euros. Sans l’intervention de ce mentor et de ce Mastermind, j’aurais probablement continué à faire cette erreur, risquant même la faillite.

En effet, 50 % des entreprises échouent en moins de deux ans, souvent en raison d’erreurs coûteuses qu’elles auraient pu éviter avec un mentor. Il est crucial de mettre son ego de côté et de reconnaître que collaborer avec d’autres est essentiel pour réussir.

Dans la société, on valorise souvent le succès individuel, mais en réalité, personne ne réussit seul. Même les meilleurs sportifs, comme Ronaldo, ne peuvent gagner seuls contre toute une équipe. La collaboration est la clé des résultats extraordinaires.

Transformation n°2 : le boost de confiance et de standard

boost de confiance

La deuxième est un boost de confiance et de standards.

Par exemple, Tony Robbins, connu pour avoir coaché plusieurs présidents américains, est capable de considérablement transformer le niveau de confiance de quiconque. Pourquoi ? Parce que Tony Robbins a un niveau de confiance extrême, et en passant du temps avec lui, grâce aux neurones miroirs, on commence inconsciemment à modéliser son comportement. Le niveau de confiance grandit en même temps que vos connaissances.

Quand vos connaissances augmentent, votre confiance en vous augmente aussi. Lorsqu’on vous donne des clés, des stratégies et des secrets pour réussir, cela booste votre confiance.

Mais le plus important est d’élever ses standards. En côtoyant quelqu’un comme Tony Robbins, qui a des standards très élevés, on apprend à ne plus tolérer certaines choses. Un standard, c’est ce que vous tolérez ou non.

Par exemple, vous ne tolérez pas d’avoir un seul kilo de graisse en trop. Parfois, vous déviez un peu, mais rapidement, vous vous rappelez de vos standards et vous vous y conformez. Vous ne tolérez pas de ramer financièrement ou de ne pas avoir de bonnes relations avec votre famille. Vous obtenez ce que vous tolérez dans la vie.

Peu de gens atteignent leurs objectifs, mais tout le monde atteint ses standards. Pour transformer votre vie, augmenter votre confiance en vous et élever vos standards, rien de mieux que de côtoyer un mentor avec un niveau de confiance et de standards très élevé.

Transformation n°3 : la clarification des objectifs

clarifier objectifs

La troisième transformation qu’un mentor apporte est la clarification des objectifs. Souvent, quand on demande à un entrepreneur quels sont ses objectifs pour les 12 prochains mois ou les trois prochaines années, la réponse est vague : “générer plus de chiffre d’affaires”. Mais combien exactement ? Un euro de plus ? Ce n’est pas clair.

Un mentor qui a réussi vit par ses objectifs, il sait où il va et pourquoi. Lorsqu’il mentor quelqu’un, il l’aide à définir des objectifs clairs et précis, ce qui peut multiplier les revenus par cinq en quelques mois.

Il ne s’agit pas seulement de clarifier les objectifs, mais de fixer des objectifs réalisables. Beaucoup d’entrepreneurs sont trop optimistes et irréalistes. Ils démarrent sans compétences ni connaissances et se fixent des objectifs de 100 000 euros par mois au bout d’un an.

C’est exactement ce que j’avais fait et, au bout d’un an, je gagnais 853 euros par mois. Si j’avais eu un mentor à ce moment-là, il m’aurait aidé à fixer un objectif réaliste, comme 5 000 euros par mois, tout en me poussant à viser plus haut.

Un mentor expérimenté sait ce qui est réalisable et ce qui ne l’est pas. Il vous mettra au défi de dépasser vos limites. On a souvent tendance à être irréaliste. Le mentor va vous aider à créer un plan d’action pour atteindre vos objectifs. Un excellent mentor vous aidera à créer un plan d’action concret et à élaborer des stratégies pour atteindre vos buts plus rapidement.

Transformation n°4 : l’expansion du réseau

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La quatrième transformation est l’expansion du réseau. On dit souvent que ce n’est pas seulement ce que vous savez qui compte, mais qui vous connaissez. Un mentor peut vous connecter à d’autres personnes influentes, ouvrant ainsi des portes que vous n’auriez jamais pu franchir seul.

Transformer votre vie financière pour toujours peut passer par un mentor.

Par exemple, un mentor m’a présenté son conseiller financier, un Américain qui conseille les plus grands milliardaires. Grâce à lui, j’ai commencé à comprendre le monde de l’investissement de manière totalement nouvelle. Je suis passé de penser que 3 % d’intérêt était bien à comprendre comment obtenir 15, 20, voire 25 % sans travailler. C’était révolutionnaire.

Certains entrepreneurs peuvent demander des recommandations pour des experts en réseaux sociaux, des juristes, des avocats fiscalistes, etc. Cela ouvre le réseau, ce qui est un énorme accélérateur de réussite.

Transformation n°5 : le gain de temps et d’énergie

gain de temps

La cinquième transformation est un gain de temps et d’énergie majeur. Prenons l’exemple de Michael Jordan. Bien qu’il soit devenu rapidement le meilleur joueur de la NBA, il ne gagnait pas de championnats. Son ancien coach misait tout sur lui, ce qui ne fonctionnait que jusqu’à un certain point. Quand Phil Jackson est arrivé, il a appris à Jordan à jouer en équipe. Cela a permis à Jordan de récupérer de l’énergie et d’être plus performant lorsqu’il avait la balle. Grâce à cette stratégie, les Chicago Bulls ont joué en équipe et ont gagné leur premier championnat, puis six championnats en huit ans.

Un autre exemple personnel est celui d’un mentor à 100 000 dollars qui a créé une entreprise valant 4 milliards.

Un été, j’ai travaillé dur sur une stratégie de développement et, lors de notre premier appel, il a immédiatement rejeté mon idée. Grâce à son expérience, il m’a fait économiser énormément de temps et d’énergie, et environ 700 000 euros en évitant une mauvaise stratégie. Cet investissement de 100 000 dollars s’est rentabilisé en moins de 20 minutes.

Les entrepreneurs font souvent des erreurs coûteuses sans même s’en rendre compte. Un mentor pose les bonnes questions et aide à éviter ces erreurs. Par exemple, il peut identifier des erreurs dans les marges, la stratégie marketing, ou la délégation. Beaucoup de personnes perdent des millions parce qu’elles n’ont pas de mentor.

Peut-on réussir seul ? Oui, mais cela prend beaucoup plus de temps et d’énergie. Faire appel à un mentor permet d’éviter des erreurs fatigantes et de gagner du temps précieux. Pour choisir un mentor, il est important qu’il vous corresponde, ait des valeurs qui vous plaisent et l’expérience nécessaire pour vous mener là où vous voulez aller.

Un bon mentor doit être capable de transmettre des concepts complexes de manière simple et vous encourager à passer à l’action.

Si vous ne comprenez pas ce que vous dit le mentor, cela arrive et vous en tirerez toujours quelque chose de positif. Ils peuvent vous donner des idées diverses et variées, des plus simples aux plus complexes.

Un mentor doit vous aider à comprendre et à agir, pas vous submerger avec des idées sans direction. Les meilleurs mentors savent où vous en êtes et vous conseillent sur la prochaine étape à franchir.

Des questions à se poser avant de choisir un mentor

questions mentor

Pour choisir un mentor, voici quelques questions clés à se poser.

  1. A-t-il réussi ce que je veux réussir ?
    Beaucoup de personnes se présentent comme des experts, mais n’ont jamais vraiment accompli ce que vous souhaitez réaliser. Un coach peut être très fort pour vous accompagner, mais pas forcément pour vous mentorer. Un mentor doit avoir une expérience concrète et prouvée dans le domaine qui vous intéresse.
  2. Est-ce qu’il a vraiment à cœur de m’aider ? Est-il bienveillant ?
    Le mentor doit avoir à cœur de vous aider. Certains individus très prospères ne souhaitent pas partager leurs secrets ou leur expérience. Il est crucial que votre mentor soit réellement engagé dans votre réussite.
  3. Est-il capable de transmettre ses connaissances de manière simple ?
    Un bon mentor doit pouvoir expliquer des concepts complexes de manière claire et compréhensible. Certains experts ont du mal à transmettre leurs compétences parce qu’ils ne sont pas conscients des étapes concrètes qu’ils suivent.

Un mentor compétent et bienveillant peut transformer votre parcours professionnel et personnel. Il vous guidera de manière claire et précise, vous permettant de passer rapidement à l’action. Trouver un mentor de cette qualité est une véritable perle rare. Investissez massivement dans cette relation et restez avec ce mentor aussi longtemps que possible.

Rappelez-vous que des personnalités comme Michael Jordan ou Elon Musk ne seraient pas là où elles sont sans l’aide de mentors. Faire appel à un mentor est probablement l’un des meilleurs investissements que vous puissiez faire pour votre avenir.

C’est haut la main le meilleur investissement que vous pouvez faire !

6 avantages à avoir un business plan pour votre entreprise

Un business plan est souvent considéré comme un document essentiel pour toute entreprise, qu’elle soit en phase de démarrage ou bien établie. Il sert de feuille de route, permettant de définir les objectifs, de planifier les étapes nécessaires pour les atteindre, et de prévoir les ressources nécessaires.

Les avantages d’un business plan sont multiples et impactent divers aspects de l’entreprise. Voici un aperçu des principaux bénéfices que peut apporter un business plan bien élaboré. N’hésitez pas à vous inscrire à notre séminaire pour entrepreneurs.

Clarifier sa vision et ses objectifs

objectif

La clarification de la vision et des objectifs est l’un des avantages les plus fondamentaux et essentiels d’un business plan. Ce processus de clarification joue un rôle crucial dans la définition de la direction que l’entreprise souhaite prendre, tout en offrant une base solide pour toutes les décisions stratégiques futures.

La vision d’une entreprise est une déclaration inspirante qui décrit ce que l’entreprise aspire à devenir à long terme. Elle doit être ambitieuse, motivante et alignée avec les valeurs fondamentales de l’entreprise. Lors de l’élaboration d’un business plan, les entrepreneurs sont amenés à formuler cette vision de manière claire et concise.

Une fois la vision clarifiée, il est crucial de la décomposer en objectifs spécifiques, mesurables, atteignables, pertinents et temporels (SMART). Ces objectifs doivent être alignés avec la vision globale et servir de jalons pour évaluer les progrès de l’entreprise.

La clarification de la vision et des objectifs permet également d’assurer l’alignement et la cohérence à tous les niveaux de l’entreprise. Lorsque tous les membres de l’équipe comprennent clairement la direction et les priorités de l’entreprise, il devient plus facile de coordonner les efforts et de travailler ensemble vers des objectifs communs.

Utiliser un puissant outil de communication

outil business plan

Un business plan n’est pas seulement un document de gestion interne. Il est également un puissant outil de communication. Utilisé correctement, il peut jouer un rôle déterminant dans la manière dont une entreprise présente ses idées, ses objectifs et sa stratégie à un public diversifié, y compris les investisseurs, les partenaires commerciaux, les employés et les autres parties prenantes.

Pour les entrepreneurs cherchant à lever des fonds, le business plan est souvent la première impression qu’ils laissent aux investisseurs potentiels. Un business plan bien rédigé et détaillé montre aux investisseurs que l’entreprise est sérieuse, bien préparée et consciente des défis et opportunités du marché.

Un business plan est également un outil précieux pour établir et renforcer des partenariats commerciaux. En partageant le business plan avec des partenaires potentiels, les entreprises peuvent s’assurer que tous les acteurs sont alignés sur les objectifs et les attentes mutuels. Un business plan bien structuré fournit une base solide pour les négociations, aidant à définir les termes des accords et à établir des partenariats bénéfiques.

Planifier avec stratégie

planifier stratégie

La planification stratégique est au cœur d’un business plan. Un business plan aide à élaborer des stratégies pour se démarquer et capturer des parts de marché. Cette analyse approfondie permet également d’anticiper les défis potentiels et de préparer des plans d’action pour y faire face.

La compréhension du marché cible est cruciale pour formuler une stratégie solide. Cela implique de recueillir des données sur les tendances du marché, les besoins des clients et les comportements des consommateurs. En identifiant les segments de marché les plus prometteurs, l’entreprise peut adapter ses produits ou services pour répondre aux attentes spécifiques de ces segments.

L’évaluation des forces et des faiblesses internes de l’entreprise est tout aussi essentielle. En reconnaissant ses atouts, l’entreprise peut les exploiter pour créer un avantage concurrentiel. Par exemple, une entreprise ayant une forte capacité d’innovation peut se concentrer sur le développement de nouveaux produits pour rester en tête du marché.

Un autre aspect crucial de la planification stratégique est l’anticipation des défis potentiels. Un business plan bien élaboré permet de prévoir les obstacles que l’entreprise pourrait rencontrer et de préparer des plans d’action pour y faire face.

Avoir une bonne gestion financière

gestion finance

La gestion financière est un pilier essentiel d’un business plan, jouant un rôle crucial dans l’évaluation de la viabilité de l’entreprise, la planification des ressources et la surveillance de la performance financière. Un business plan bien conçu intègre une gestion financière, ce qui permet de convaincre les investisseurs et les prêteurs.

L’une des composantes clés de la gestion financière dans un business plan est l’élaboration de prévisions financières. Ces prévisions incluent des projections de revenus, des prévisions de dépenses, et des estimations de flux de trésorerie. En utilisant des données historiques, des analyses de marché et des hypothèses, l’entreprise peut estimer ses performances futures.

Le budget est un autre élément central de la gestion financière. Un budget détaillé inclut des prévisions de dépenses pour chaque département et activité de l’entreprise, ainsi que des estimations de revenus. Il sert de feuille de route financière. Il aide à contrôler les coûts et à s’assurer que les dépenses restent accordées aux prévisions.

La gestion des flux de trésorerie est également essentielle pour assurer la liquidité de l’entreprise. Un business plan doit inclure des projections de flux de trésorerie pour anticiper les entrées et sorties de fonds. Une bonne gestion des flux de trésorerie permet d’éviter les problèmes de liquidité.

Être motivé et engager son équipe

équipe motivée

La motivation et l’engagement de l’équipe sont des éléments cruciaux pour le succès de toute entreprise, et un business plan bien conçu joue un rôle important dans leur renforcement. En définissant clairement la vision, un business plan permet de créer un environnement de travail où chaque membre de l’équipe se sent impliqué.

Un business plan offre une vision claire de la direction que prend l’entreprise et des objectifs qu’elle souhaite atteindre. Lorsque les employés comprennent la mission de l’entreprise et voient comment leur travail contribue à cette mission, ils sont plus susceptibles de se sentir motivés et engagés.

En définissant des objectifs spécifiques et mesurables, un business plan assure que tous les membres de l’équipe travaillent vers des buts communs. Cet alignement des efforts favorise la collaboration et la cohésion au sein de l’entreprise. Lorsque tous les employés sont sur la même longueur d’onde, cela crée un sentiment de communauté et d’unité.

Un business plan bien communiqué peut renforcer le sentiment d’appartenance des employés. En partageant les plans de l’entreprise, ses valeurs et sa vision pour l’avenir, les dirigeants peuvent créer un environnement où les employés se sentent partie intégrante de quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes.

S’adapter et être flexible

travail flexible

Dans un environnement économique en constante évolution, l’adaptabilité et la flexibilité sont des qualités indispensables pour toute entreprise. Un business plan bien élaboré intègre ces aspects.

Un business plan comprend une analyse approfondie du marché, qui inclut l’étude des tendances actuelles et futures, l’évolution des comportements des consommateurs, et les dynamiques concurrentielles. En disposant de ces informations, l’entreprise est mieux préparée à anticiper les changements et à ajuster ses stratégies en conséquence.

Un aspect clé de l’adaptabilité est la capacité à prévoir différents scénarios et à préparer des plans de contingence. Un business plan bien conçu inclut des analyses de scénarios qui envisagent diverses situations possibles, telles que des variations de la demande, des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, ou des crises économiques.

Un business plan n’est pas un document statique. Il doit être révisé et mis à jour régulièrement pour rester pertinent. Cette flexibilité permet à l’entreprise de réévaluer ses objectifs, ses stratégies et ses prévisions financières à la lumière des nouvelles informations et des changements dans l’environnement externe.

Conclusion : avoir un business est synonyme de succès !

Un business plan offre une multitude d’avantages pour une entreprise. Il apporte une clarté stratégique, facilite la communication avec les parties prenantes, améliore la gestion financière, et renforce l’engagement de l’équipe. De plus, il permet de rester adaptable face aux changements du marché. Pour toutes ces raisons, la création et la mise à jour régulière d’un business plan sont des pratiques indispensables pour le succès de toute entreprise.

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Comment définir et atteindre vos objectifs de croissance ?

La croissance est une priorité pour toute entreprise cherchant à se développer et à prospérer dans un environnement concurrentiel. Définir des objectifs de croissance clairs et réalisables est essentiel pour orienter les efforts, allouer les ressources et mesurer les progrès. Cet article explore les étapes nécessaires pour définir et atteindre vos objectifs de croissance de manière efficace.

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Comprendre la croissance

comprendre la croissance

La croissance d’une entreprise peut revêtir plusieurs formes, chacune ayant ses propres implications. Il est essentiel de comprendre les différents types de croissance afin de définir des objectifs pertinents et adaptés à la réalité de l’entreprise. La croissance des revenus est souvent l’objectif le plus immédiat, se traduisant par une augmentation du chiffre d’affaires grâce à la vente de produits ou de services.

Une autre dimension cruciale est la croissance des parts de marché, qui implique d’augmenter la proportion de clients d’une entreprise par rapport à ses concurrents.Cela peut se faire par le biais de stratégies de marketing agressives : amélioration de la qualité, réduction des prix…

En parallèle, la croissance de la clientèle (acquérir de nouveaux clients ou augmenter la fidélité des clients) est fondamentale pour stabiliser les revenus. L’expansion géographique est une autre forme de croissance qui permet à une entreprise de se développer en pénétrant de nouveaux marchés ou régions. Cette expansion peut offrir des opportunités, mais nécessite une compréhension approfondie des nouveaux environnements économiques, culturels et réglementaires.

Définir des objectifs de croissance clairs

definir objectif precis

Pour réussir dans toute entreprise, il est crucial de définir des objectifs de croissance clairs. La clarté dans les objectifs permet non seulement de concentrer les efforts mais aussi de mesurer les progrès. Les objectifs doivent être formulés selon le modèle SMART, qui signifie qu’ils doivent être Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Pertinents et Temporellement définis. Par exemple, au lieu de simplement vouloir “augmenter les ventes”, un objectif spécifique serait “augmenter les ventes de 15 % dans le segment des jeunes adultes d’ici la fin de l’année”.

Mesurer les objectifs est tout aussi important, car ce qui ne peut être mesuré ne peut être géré. Les objectifs mesurables incluent des critères concrets pour évaluer les progrès et déterminer le succès. Ensuite, les objectifs doivent être atteignables, c’est-à-dire réalistes compte tenu des ressources et des contraintes actuelles de l’entreprise.

La pertinence des objectifs est également essentielle. Ils doivent être alignés avec la vision, la mission et les priorités stratégiques de l’entreprise. Un objectif pertinent pour une entreprise de technologie pourrait être d’augmenter les investissements en recherche et développement pour rester à la pointe de l’innovation.

Analyse de la situation actuelle

analyse situation croissance

Avant de définir des objectifs de croissance, il est essentiel d’évaluer la situation actuelle de l’entreprise. Une analyse approfondie permet de comprendre les forces et les faiblesses internes, ainsi que les opportunités et les menaces externes. L’une des méthodes les plus courantes pour cette évaluation est l’analyse SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats).

Cette méthode aide à identifier les atouts sur lesquels l’entreprise peut capitaliser, les domaines qui nécessitent des améliorations, les opportunités de croissance dans l’environnement externe, et les menaces qui pourraient entraver la progression. L’analyse des données financières est également cruciale. Cela implique d’examiner les revenus, les dépenses, la rentabilité, ainsi que d’autres indicateurs financiers clés.

Une compréhension claire de la santé financière actuelle de l’entreprise permet de fixer des objectifs de croissance réalistes. En plus des aspects financiers, une étude de marché approfondie est indispensable. Il est important de prendre en compte les aspects opérationnels de l’entreprise. Cela inclut l’efficacité des processus internes, la qualité des produits ou services, et les capacités de production.

Élaboration d’une stratégie de croissance

stratégie affaires

Une fois la situation actuelle de l’entreprise bien comprise, l’étape suivante consiste à élaborer une stratégie de croissance claire et cohérente. Cette stratégie doit être adaptée aux objectifs de croissance définis et alignée avec les ressources et les capacités de l’entreprise. Le choix des bonnes stratégies est crucial pour maximiser les chances de succès. Il existe plusieurs approches que les entreprises peuvent adopter.

L’expansion des produits est une stratégie courante, qui consiste à introduire de nouveaux produits ou à améliorer les produits existants pour attirer plus de clients et augmenter les ventes. Cette stratégie peut également inclure le développement de produits complémentaires qui répondent aux besoins des clients actuels.

Une autre approche est la pénétration du marché, qui vise à augmenter les parts de marché avec les produits ou services actuels. Cela peut se faire par le biais de campagnes de marketing agressives, de promotions, de réductions de prix ou d’une amélioration du service client. L’objectif est de convaincre les consommateurs d’opter pour les produits de l’entreprise plutôt que ceux de la concurrence.

Mettre en œuvre la stratégie

plan et stratégie

Une fois la stratégie de croissance élaborée, la prochaine étape cruciale est sa mise en œuvre. Cela nécessite un plan d’action détaillé qui guide l’exécution de la stratégie, en veillant à ce que chaque aspect soit soigneusement planifié et exécuté efficacement. La mise en œuvre de la stratégie commence par l’élaboration d’un plan d’action qui décompose les objectifs de croissance en tâches spécifiques.

Pour garantir que la stratégie soit mise en œuvre de manière efficace, il est essentiel de déterminer les ressources nécessaires. Cela inclut les ressources humaines, financières et technologiques. Il est important d’identifier les talents et compétences requis, de prévoir les budgets nécessaires et de s’assurer que les technologies appropriées sont disponibles et opérationnelles.

La clarification des rôles et des responsabilités est également un élément clé. Chaque membre de l’équipe doit savoir exactement ce qui est attendu de lui, quelles sont ses tâches spécifiques et comment elles s’insèrent dans l’ensemble du plan. Une communication claire et des responsabilités bien définies garantissent que tous les membres de l’équipe travaillent de manière coordonnée vers les mêmes objectifs.

Suivi et ajustement

suivi et ajustement

Le suivi et l’ajustement sont des étapes cruciales dans la réalisation des objectifs de croissance, garantissant que la stratégie mise en œuvre reste pertinente et efficace face aux dynamiques changeantes du marché et de l’entreprise. Une fois la stratégie en place, il est essentiel de surveiller régulièrement les progrès et d’évaluer les résultats par rapport aux objectifs fixés.

Cette évaluation continue permet d’identifier rapidement les écarts entre les résultats attendus et les performances. Le suivi commence par la mise en place de mécanismes de reporting. Des rapports d’avancement doivent être produits à des intervalles prédéfinis, par exemple mensuellement ou trimestriellement. Ils doivent inclure les principaux indicateurs de performance (KPI) définis lors de la phase de planification (chiffres de vente, parts de marché, taux de conversion des clients…).

L’ajustement de la stratégie est souvent nécessaire pour maintenir l’élan et s’adapter aux nouvelles réalités. Les données collectées lors du suivi permettent d’identifier les aspects de la stratégie qui fonctionnent bien et ceux qui doivent être modifiés. Par exemple, si une campagne marketing ne génère pas les résultats escomptés, il peut être nécessaire de revoir le message, de cibler un autre segment de marché ou d’augmenter le budget.

Conclusion : la planification doit être précise pour réussir

Définir et atteindre des objectifs de croissance nécessite une planification rigoureuse, une mise en œuvre efficace et un suivi constant. En adoptant une approche structurée et en restant flexible face aux changements, les entreprises peuvent non seulement atteindre leurs objectifs de croissance mais aussi assurer leur succès à long terme. La clé réside dans la clarté des objectifs, l’analyse approfondie, la stratégie bien pensée et l’exécution précise.

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Les astuces pour mieux gérer votre trésorerie

La gestion de trésorerie est un élément vital pour la santé financière de toute entreprise, grande ou petite. Une trésorerie bien gérée garantit la disponibilité des liquidités nécessaires pour couvrir les dépenses courantes, investir dans la croissance future et faire face aux imprévus.

Voici quelques astuces pour vous aider à mieux gérer votre trésorerie et à assurer la stabilité financière de votre entreprise.

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Établir un budget réaliste

planification budget

Commencez par examiner en détail vos revenus prévus et vos dépenses inévitables. Les revenus comprennent non seulement les ventes de produits ou de services, mais aussi les autres sources de revenus telles que les intérêts, les dividendes ou les subventions. Pour les dépenses, assurez-vous d’inclure toutes les dépenses courantes. Il s’agit des salaires, des coûts de production, des frais généraux, des frais de marketing, des impôts et des remboursements de prêts.

Les revenus et les dépenses peuvent varier en fonction des saisons ou des cycles économiques. Par exemple, une entreprise de vente au détail peut voir ses revenus augmenter pendant les périodes de vacances, tandis qu’une entreprise de tourisme peut connaître une saisonnalité plus marquée. Il est important de tenir compte de ces fluctuations saisonnières dans votre budget pour éviter les surprises.

Lorsque vous établissez votre budget, n’oubliez pas d’inclure des marges de sécurité pour faire face à l’imprévu. Les imprévus peuvent prendre différentes formes, comme des retards de paiement de la part des clients, des augmentations soudaines des coûts ou des perturbations sur le marché. En prévoyant des marges de sécurité dans votre budget, vous vous donnez une marge de manœuvre pour faire face à ces situations imprévues.

Surveiller les flux de trésorerie régulièrement

flux de trésorerie

Pour surveiller efficacement vos flux de trésorerie, utilisez des outils de gestion financière tels que des logiciels de comptabilité ou des tableurs. Ces outils vous permettent d’enregistrer et de suivre toutes les transactions financières de votre entreprise, y compris les entrées et les sorties de trésorerie. En centralisant vos données financières, vous pouvez facilement analyser vos flux de trésorerie et identifier les tendances et les anomalies.

Définissez un calendrier régulier pour surveiller vos flux de trésorerie, que ce soit quotidiennement, hebdomadairement ou mensuellement, en fonction de la taille et de la complexité de votre entreprise. En examinant vos flux de trésorerie à intervalles réguliers, vous pouvez repérer rapidement les problèmes potentiels et prendre des mesures correctives avant qu’ils ne deviennent des problèmes majeurs.

Comparez vos performances réelles par rapport à vos prévisions budgétaires pour évaluer la santé financière de votre entreprise et identifier les écarts. Si vos flux de trésorerie réels diffèrent de vos prévisions, analysez les raisons de ces écarts et ajustez vos projections futures en conséquence. Cette analyse comparative vous aide à comprendre les tendances de trésorerie de votre entreprise et à prendre des décisions informées pour améliorer sa performance financière.

Optimiser son cycle de conversion de trésorerie

trésorerie

Réduire le temps que vos produits passent en stock peut considérablement améliorer votre cycle de conversion de trésorerie. Assurez-vous de surveiller de près vos niveaux de stock pour éviter les surstocks, qui immobilisent des liquidités, et les ruptures de stock, qui peuvent entraîner des retards dans les ventes. Utilisez des techniques de gestion des stocks telles que la méthode du “juste-à-temps” pour minimiser les coûts de stockage et maximiser l’utilisation de votre trésorerie.

Examinez vos processus de production pour identifier les inefficacités et les goulets d’étranglement qui pourraient ralentir votre cycle de conversion de trésorerie. Cherchez des moyens d’optimiser vos opérations pour réduire les délais de production et accélérer la transformation des matières premières en produits finis. Cela peut impliquer l’automatisation de certaines tâches ou l’amélioration de la coordination entre les différents départements.

Négociez des conditions de paiement plus favorables avec vos fournisseurs pour retarder les sorties de trésorerie. Par exemple, vous pourriez demander des délais de paiement plus longs ou des remises pour paiement anticipé. Assurez-vous également de tirer parti des escomptes de règlement offerts par vos fournisseurs pour réduire le coût de vos achats et améliorer votre trésorerie.

Négocier avec ses fournisseurs et vos clients

négocier avec clients

Commencez par examiner les conditions de paiement actuelles que vous avez avec vos fournisseurs. Si les délais de paiement sont courts, envisagez de négocier des délais plus longs pour retarder les sorties de trésorerie. Les fournisseurs sont souvent ouverts à la discussion, surtout si vous avez une relation commerciale solide et que vous avez un bon historique de paiement.

D’un autre côté, il est également important d’encourager vos clients à payer leurs factures plus rapidement. Vous pouvez offrir des incitations pour les paiements anticipés, comme des remises ou des cadeaux, ou introduire des pénalités pour paiement tardif pour encourager le respect des délais de paiement convenus. Communiquez clairement vos conditions de paiement dès le début de la relation commerciale et assurez-vous de relancer rapidement les clients en retard de paiement.

Revisitez régulièrement les termes de vos contrats avec fournisseurs et clients pour vous assurer qu’ils correspondent toujours aux besoins et aux objectifs de votre entreprise. Si vous constatez que les conditions actuelles ne sont plus avantageuses ou ne reflètent pas les changements dans votre activité, n’hésitez pas à engager des discussions de renégociation. Cela peut impliquer la modification des délais de paiement, des volumes d’achat minimum ou des prix unitaires pour mieux répondre à vos besoins.

Utiliser des solutions de financement appropriées

solution financement

Il existe une variété de solutions de financement disponibles pour les entreprises, chacune ayant ses avantages et ses inconvénients. Explorez les options telles que les lignes de crédit, les prêts à court terme, les prêts à moyen terme, le financement participatif, l’affacturage et le capital-risque pour trouver celle qui convient le mieux à vos besoins financiers et à votre situation.

Choisissez une solution de financement qui correspond à vos besoins spécifiques en termes de montant, de durée et de but. Par exemple, si vous avez besoin de fonds pour couvrir des dépenses courantes ou des fluctuations saisonnières de trésorerie, une ligne de crédit rotatif peut être plus appropriée. Si vous recherchez des fonds pour un investissement à long terme, un prêt à moyen terme pourrait être plus adapté.

Avant de souscrire à une solution de financement, évaluez attentivement les coûts et les risques associés. En plus des intérêts, certains prêts peuvent comporter des frais de dossier, des frais de garantie ou des frais de remboursement anticipé. Assurez-vous de comprendre tous les frais impliqués et de les prendre en compte dans votre analyse de rentabilité.

Prévoir des réserves pour les imprévus

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Identifiez les risques potentiels auxquels votre entreprise pourrait être confrontée, tels que les fluctuations économiques, les crises sectorielles, les changements de réglementation, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement ou les catastrophes naturelles. En comprenant ces risques, vous pouvez mieux vous préparer à les affronter et à atténuer leur impact sur votre entreprise.

Évaluez les besoins en liquidités de votre entreprise pour faire face aux imprévus. Cela peut inclure le paiement des dépenses courantes, le maintien de la masse salariale, le paiement des fournisseurs et le remboursement des prêts, même en période de difficultés financières. En calculant ces besoins, vous pouvez déterminer le montant de réserves nécessaire pour maintenir la stabilité de votre entreprise.

Créez un fonds de réserve dédié pour faire face aux imprévus. Idéalement, ce fonds devrait couvrir les dépenses de votre entreprise pendant une période spécifiée, par exemple trois à six mois. Veillez à conserver ce fonds dans un compte bancaire distinct et facilement accessible, afin de pouvoir y accéder rapidement en cas de besoin.

 

En mettant en pratique ces astuces, vous pouvez améliorer la gestion de votre trésorerie et renforcer la stabilité financière de votre entreprise. Une trésorerie bien gérée vous permettra de naviguer plus efficacement à travers les défis financiers et de saisir les opportunités de croissance à long terme.

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Maîtriser l’art de gérer son temps et apprendre à mieux utiliser son temps

Combien de précieuses heures consacrez vous chaque jour à votre téléphone ? Une étude récente révèle qu’en moyenne, les individus y consacrent plus de cinq heures quotidiennes. Pour ma part, ce chiffre se situe autour d’une heure et demie, tandis qu’Elon Musk, le célèbre entrepreneur, y consacre seulement une heure.

Et c’est l’une des raisons majeures entre ceux qui ont beaucoup de succès et le reste.

Il est fort probable que votre téléphone vous sollicite par des notifications, que les réseaux sociaux captivent une part importante de votre attention, et que vos amis vous invitent régulièrement à les rejoindre pour un verre. Pourtant, quelle que soit notre situation, nous disposons tous de 24 heures par jour.

Ce qui fait la véritable différence, en fin de compte, réside dans la façon dont nous utilisons ce précieux temps. Ainsi, comment optimiser votre emploi du temps, à l’instar des individus les plus fortunés ?

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Premier point : l’importance de se focaliser

prioriser

J’ai eu l’honneur d’accompagner plus de 160 000 chefs d’entreprise, entrepreneurs dans ma carrière, et j’ai pu aussi coacher des milliardaires, des gens qui ont beaucoup de succès. Certains sont mes amis, d’autres étaient des mentors et le sont encore.

Il y a un point commun à toutes les personnes qui ont un succès très impressionnant : ils ont tous la capacité de se focaliser. Et si vous n’avez pas les résultats que vous voulez, il y a de fortes chances que c’est dû à un manque de focus.

Qu’est-ce que se focaliser ? Qu’est-ce que rester focus ?

Savoir prioriser

C’est avant tout savoir prioriser. C’est savoir se dire : “quelles sont les actions qui vont générer le maximum de résultats ?” C’est la première chose à définir.

Moi, j’ai fait l’erreur à mes débuts en tant que chef d’entreprise. J’ai traversé une phase où je m’efforçais d’accomplir une multitude de tâches, sans réaliser que 80 % d’entre elles ne produisaient qu’un impact minime et peut-être que vous l’avez fait aussi. Et j’ai commencé à me poser en me disant : “Quelles sont les actions qui génèrent des impacts 8, 9, 10 sur 10 et pas 1 ?”. J’ai ensuite pris la décision d’abandonner ou de déléguer les tâches à faible impact.

Se concentrer sur une action longtemps

La deuxième chose est de se concentrer sur une tâche ou une action pendant plusieurs minutes, pendant plusieurs heures, sans être interrompu, sans changer de tâche. C’est pouvoir faire une tâche sans laisser les gens venir vous interrompre.

Je discutais avec mon assistante de direction qui me disait : “Mais où passe tout mon temps ?” Elle avait vraiment vécu un point où elle avait quasi plus de weekend, elle disait : “Mais je n’arrive pas à gérer tout ça”.
Et en fait, une des raisons, quand elle a vraiment analysé les choses, c’était qu’en fait, elle laissait les gens l’interrompre tout le temps. Elle a dit : “Normalement, quelque chose où je peux me focaliser pendant une heure d’un coup, je le fais maintenant en 3 heures”.
On a discuté et trouvé un système qui permet pour elle de se focaliser et d’avoir un système de communication pour l’équipe qui va faire en sorte qu’ils ne vont pas l’interrompre pour des choses peu importantes.

Apprendre l’art de se focaliser a littéralement le pouvoir de tripler votre productivité. Et de multiplier vos revenus et la vitesse à laquelle vous allez atteindre vos objectifs. C’est à ce point-là important.

Soyez capable de rester concentré en deep work, en travail profond et intense pendant 1h, 2h, 3h. Par exemple, prenez 3 heures dans votre agenda pour vous concentrer sur une chose, et ne laissez personne vous perturber. Personne ne doit vous interrompre, votre téléphone est en mode avion, vos notifications sont coupées.
Cela va vous permettre d’accomplir parfois plus en 3 heures que certains font en une semaine.

Imaginez-vous si vous êtes capable de passer à accomplir plus de choses en une journée qu’en une semaine par rapport à la majorité des autres, votre concurrence. Imaginez-vous à quelle vitesse vous allez avancer. Vous allez avancer 5 à 6 fois plus vite que les autres.

Aimeriez-vous être en mesure d’atteindre trois fois, cinq fois, dix fois plus rapidement vos objectifs ? Aimeriez-vous accomplir plus en disant que certains en trois générations ? Alors, vous devez maîtriser l’art de se focaliser.

Être focus sur une chose uniquement

liste de taches prioritaires

Autre chose à savoir en psychologie : on peut seulement se focaliser sur une chose à la fois. Quand vous êtes focalisé sur une tâche importante et que vous vous laissez perturber par une tâche peu importante, que se passe-t-il ? Quand quelqu’un vous interrompt pour quelque chose de peu important par rapport à vos priorités, qu’est-ce qui se passe ?

Vous allez prendre 10 à 15 minutes juste à vous remettre dans votre tâche, dans votre action. Vous allez perdre énormément de temps, énormément d’énergie, et ce qui augmente au passage votre niveau de stress. Ainsi, en augmentant votre niveau de focus, vous allez vous sentir plus confiant, plus serein, et votre niveau de stress va descendre.

Éliminer les “petites choses”

Voici une autre clé pour augmenter son focus : éliminer les petites choses auxquelles vous devez penser tous les jours. Par exemple, Steve Jobs ou Mark Zuckerberg, ils ont quelque chose de très simple : ils mettent le même t-shirt de la même couleur tous les jours.

La raison : cela économise leur énergie mentale. Ils n’ont pas besoin de se poser la question, “Je porte quoi aujourd’hui ?” C’est un petit détail. Ils ont une obsession saine des petits détails. Ils en sont au point de se demander “comment je peux économiser ma bande passante, mon énergie mentale, pour que je n’aie même pas besoin de penser à ce que je vais mettre demain ?”. Je sais ce que je vais porter demain : la même chose qu’hier.

Ce n’est pas forcément ce que vous devez faire, mais c’est une analogie pour montrer concrètement à quel point ces milliardaires pensent et comment il faut peut-être élever son niveau de simplification si vous voulez vous focaliser et accomplir plus de choses.

Vous devez apprendre à simplifier votre vie. Généralement, vous avez trop de choses à penser et des choses qui sont peu importantes. “Qu’est-ce que je vais porter ce soir ?” “Qu’est-ce qu’il a pensé, ceci ?” “Quand est-ce que je vais aller à la pharmacie ?”

Dès que vous commencez à gagner plus d’argent, misez sur l’embauche d’un.e assistant.e administrative. Cela vous libérera du temps, au moins 20 heures par semaine, soit 80 heures par mois. Cela fait économiser un temps phénoménal. Mais surtout, ça permet de libérer l’esprit pour se focaliser sur ce qui compte.

C’est la raison pour laquelle tous les chefs d’entreprise et entrepreneurs qui rentrent dans nos programmes choisissent d’aller recruter un.e assistant.e. C’est un de nos conseils en séminaires. Ils pensent que ça va leur coûter de l’argent, mais non, parce qu’ils vont récupérer du temps pour se focaliser sur des tâches qui vont être plus productives, qui ont un impact 8, 9, 10.

Vous allez être plus sain, et être plus focus. Et quand vous êtes plus focus, vous accomplissez trois fois, dix fois plus de choses.

Planifier son quotidien et sa semaine

planifier son temps

Un autre élément fondamental pour augmenter votre niveau de focus, c’est de planifier. Les personnes qui ont beaucoup de succès prennent un moment de planification. Soit la veille pour planifier le lendemain ; soit en fin de semaine pour planifier la semaine suivante.

Organisez des calls toutes les semaines, tous les trimestres, toutes les années pour planifier. Cela favorise le focus et permet de prioriser, de se demander ce qui est important, savoir où mettre notre concentration, notre énergie, nos ressources. L’objectif est de pouvoir se focaliser et d’accomplir le maximum de choses qu’on veut accomplir.

Pour multiplier par 3 votre productivité, mettez cette astuce dans votre agenda. Mettez un rappel pour planifier votre semaine, le vendredi soir, le samedi ou le dimanche. Planifiez votre semaine. Cela va vous prendre 15-20 minutes maximum. Mais ce temps-là va permettre d’être trois fois plus productif.

Est-ce que vous pensez que c’est une bonne habitude à avoir de planifier votre semaine, de juste investir 15, 20 minutes ? Faites ce petit effort pour planifier votre semaine stratégiquement. Commencez par planifier votre semaine, pas votre journée. Sinon vous allez être stressé.

Il est important de vous demander “Ok, quelle est la top priorité lundi ? Et celle de mardi ?” Organisez ainsi vos priorités. Et lorsque vous démarrez la semaine, vous savez exactement ce que vous devez faire. Vous ne commencez pas la semaine en disant, “Alors, qu’est-ce que je vais faire ?” Vous êtes un chef d’entreprise, pas un amateur, mais un professionnel.

Vous planifiez votre temps parce que vous savez que le temps, c’est la plus grande des ressources qui soit.

Le secret du succès est de savoir comment organiser vos 24 heures. On a tous 24 heures. Comment allez-vous utiliser ce temps pour prioriser vos ressources ? Pour cela, vous devez non seulement les prioriser, mais vous devez vous focaliser pour accomplir le maximum de choses en minimum de temps.

Pour se focaliser, vous devez apprendre à déléguer. Donc, une des choses que vous pouvez faire dès maintenant, c’est de regarder la semaine précédente. Vous prenez les sept derniers jours, et vous notez toutes les tâches que vous avez faites réellement. Cela vous fera rendre compte de comment vous avez utilisé votre temps.

C’est tellement important d’avoir un feedback avec vous-même, de prendre du recul, de vous demander “Comment je passe mon temps réellement ? Est-ce que tout ce que je fais mérite d’y passer autant de temps ? Était-ce vraiment important ? Est-ce que ça va vraiment faire progresser mon entreprise ? Est-ce que ça va vraiment faire avancer mes finances ? Ça va me permettre vraiment d’être plus heureux ?

Vous allez vous rendre compte que vous gaspillez énormément de temps, et vous passez du temps sur des tâches qui ne sont pas importantes. Si vous passez 80 % de votre temps sur des tâches qui vous rapportent rien ou peu, pourquoi vous continuez à les faire ? Vous devez être stratégique.

Le jour où j’ai commencé à prendre 80 % de mon temps sur les deux, trois actions qui avaient des impacts à 9 ou 10, littéralement en un an, j’ai multiplié par 10 ma trésorerie. Je suis passé de gagner 150 000 €, à en un an, 1,5 million d’euros de bénéfice. Donc, j’ai fait x10 en un an. C’est la première fois que je voyais 1 million d’euros sur mon compte en banque, et ça, ça a changé ma vie pour toujours. Ça, c’est le pouvoir de déléguer, de prioriser, et de se focaliser.

Prenez un petit moment pour noter les 10, 15, 20 tâches que vous faites de manière récurrente. Notez à côté, entre 0 et 10, le niveau d’impact de chaque tâche sur le développement de votre entreprise, sur vos ventes, vos marges, vos bénéfices, et à permettre d’atteindre vos objectifs. Si ce n’est pas un minimum de 8 ou 9, ou idéalement 10, vous devez le déléguer ou l’arrêter.

Quand vous recrutez quelqu’un et que vous déléguez, vous allez récupérer du temps dans un premier temps, et plus tard, de l’argent. Faites-le, cela va changer votre vie. Vous allez progresser, avancer. Vous allez comprendre que c’est l’un des meilleurs retours sur investissement que vous pouvez faire.

Prendre conscience de votre environnement

espace de travail organisé

Voici un autre secret pour augmenter votre productivité : prendre conscience de votre environnement. Vous devez créer un environnement propice qui va réduire au maximum les notifications, les interruptions. Les interruptions sont l’ennemi du focus.

Une des choses que vous devez apprendre à faire avec le temps, en tant que chef d’entreprise, c’est de communiquer aux membres de votre équipe, et même à des membres de votre famille. Dites-leur que vous ne voulez pas être interrompu à un instant T.

Si vous travaillez dans un open space, -un des pires tueurs de productivité-, vous avez intérêt à avoir un casque avec un réducteur de son ou demander à être mis à part. Peut-être que cela favorise les échanges, mais travailler en open space tue le focus.

Apprendre l’art d’éliminer les distractions

Vous devez apprendre l’art d’éliminer les distractions maximum. Première chose à faire : mettre votre téléphone en mode avion. Personne ne peut vous déranger. Demandez à votre équipe de le faire aussi. Communiquez avec votre équipe en les informant que de telle heure à telle heure, vous devez être focus et ne pas être perturbé. Elle peut vous appeler uniquement en cas d’extrême urgence.

Prévoyez des calls avec votre équipe pour parler des sujets sur un moment clé : pendant 30 minutes ou 1 heure, échangez avec vos collaborateurs. Supprimez aussi vos notifications. Pour beaucoup d’entre vous, vous ne le faites pas parce que vous avez peur de rater quelque chose. Ce n’est pas grave. S’il y a quelque chose d’urgent, de vraiment urgent, quelqu’un va vous appeler. Le monde ne va pas s’écrouler.

Lorsque vous n’êtes pas disponibles à un moment, vos collaborateurs doivent trouver une solution par eux-même. Cela responsabilise les membres de votre équipe, et vous libère votre temps. Cela aide aussi à faire grandir votre entreprise.

Deuxième point : l’importance de travailler avec intensité

concentration au travail

Ce que vous voulez avoir pour accomplir de grandes choses, ce que vous devez être en mesure d’accomplir, c’est de travailler en profondeur, ou deep work. Tous les jours, pendant 3-4 heures. Personne ne doit vous perturber, aucune notification ne doit vous interrompre. Vous devez arriver à vous focaliser sur votre top priorité du moment.

Imaginez l’impact sur votre entreprise, vos finances, votre bien-être et votre estime personnelle si vous appliquez ce conseil de deep working maintenant. Concentrez-vous pour accomplir des tâches et des actions à un niveau optimal, pendant 3 à 4 heures par jour, avec une hyper-focalisation où rien ni personne ne peut vous distraire, sans notifications, en vous consacrant à la chose la plus importante.

Imaginez cela : les résultats ne pourront qu’augmenter de manière exponentielle dans les mois et années à venir.

Savoir où et quand vous perdez votre temps

Prenez un moment pour vous poser la question : “Où est-ce que je perds beaucoup de temps ? Où est-ce que je m’épuise inutilement ? Combien de temps par jour est-ce que je consacre à des activités insignifiantes qui ne me rendent pas heureux, à des discussions futiles, ou à critiquer quelqu’un avec un membre de ma famille, un collègue ou un collaborateur ? La critique, à quoi bon, si ce n’est pour gaspiller votre temps et vous sentir mal ensuite ?”

À mes débuts en tant qu’entrepreneur et chef d’entreprise, je passais au moins 9 heures par semaine, donc 3 fois 3 heures, dans un bar à Strasbourg, avec les mêmes potes. On racontait les mêmes histoires de nos profs passés du lycée. J’avais 21 ans à ce moment-là. On parlait des mêmes choses constamment, et on prenait des bières. Est-ce que la bière m’aidait à augmenter mes finances ? Non, plutôt à réduire ma concentration et mon focus. L’excès d’alcool n’augmente pas le focus. Discuter sans cesse des choses passées n’apporte rien. C’est ce qu’on appelle brasser de l’air.

À quel point parler dans le dos de quelqu’un va-t-il améliorer vos finances et booster votre business ? En quoi se plaindre du temps qu’il fait va-t-il augmenter vos revenus ? Cela peut sembler insignifiant, mais pendant les cinq minutes que vous passez à râler sur la météo, vous auriez pu passer un coup de fil supplémentaire. Non seulement vous perdez votre concentration, mais vous risquez aussi de stagner ou de régresser, ce qui n’est pas votre objectif.

Vous devez apprendre à vous discipliner, et cela commence par une prise de conscience de vos actions et de vos paroles. Réfléchissez à la manière dont vous utilisez votre temps, avec qui vous parlez et ce que vous faites.

Voici une question importante : est-ce que ce que je suis en train de faire me rapproche de mes rêves et de mes objectifs ? Notez cette question en grand et collez-la devant vous, sur votre bureau. À chaque fois que vous faites quelque chose, demandez-vous : est-ce que cela me rapproche de mes rêves ? Si la réponse était non, prenez conscience que vous êtes en train de brasser de l’air.
La clé du focus, c’est avant tout l’élimination. Arrêtez de faire des choses insignifiantes et concentrez-vous sur l’essentiel.

Savoir dire non

oser dire non

Cela nous mène à une clé essentielle que vous devez maîtriser : savoir dire non. Ce mot est tellement important pour le focus, car pour dire oui à ce qui est important, vous devez dire non à de nombreuses autres choses. Vous devez refuser ce qui est insignifiant pour pouvoir dire oui à votre vie et à ce qui compte vraiment.

Warren Buffett, le plus grand investisseur de tous les temps, a été interrogé sur le nombre de fois qu’il dit oui. Sa réponse : “Je passe 95 % de mon temps à dire non.” Il a un filtre très clair sur ses priorités et ses valeurs. Il se demande : est-ce que cela me rapproche de mes rêves et objectifs ? Est-ce en accord avec mes valeurs et priorités ? Si la réponse est non, alors sa réponse est non.

Il est important de savoir dire non avec tact et gentillesse. Par exemple, vous pouvez dire : “Merci beaucoup pour ton invitation à ton anniversaire, cela me touche vraiment. Malheureusement, j’ai des priorités qui m’empêchent d’y assister, mais je t’envoie un cadeau avec grand plaisir.” Ainsi, vous restez respectueux tout en priorisant ce qui est essentiel pour vous.

Vous ne devez pas refuser toutes les invitations, comme les anniversaires, mais vous devez vous demander si c’est une priorité. Si c’est une priorité, alors c’est oui. Si ce n’est pas une priorité, cela doit être non. Cette réflexion peut vous accompagner pendant des années.

Pendant longtemps, j’avais peur de dire non, craignant de ne pas être aimé. Je redoutais que si je refusais quelqu’un, cette personne ne m’aimerait plus et parlerait mal de moi dans mon dos, risquant ainsi de perdre son amitié.

Mais il faut faire des choix : soit vous cherchez à accomplir vos rêves, soit vous passez votre temps à chercher la validation des autres et à essayer d’être aimé par tout le monde.

C’est la meilleure recette pour être malheureux et pour échouer. Vous ne pouvez pas plaire à tout le monde. On parle de vos rêves et de votre vie. Le temps passe très vite. Il faut juste vous le rappeler : le temps passe et le temps est important.

Qu’est-ce que vous allez faire de votre vie ? Qu’est-ce que vous allez faire de votre entreprise ? Qu’est-ce qui vous permettra, dans 5, 10, ou 20 ans, de vous dire : “Je suis sacrément fier de ce que j’ai accompli, je suis fier de qui je suis devenu” ?

Si vous voulez réaliser votre plein potentiel et être capable de vous regarder dans le miroir en disant “Je suis vraiment fier de ce que je vois en face de moi”, vous devez apprendre à dire non à au moins 80 % des choses qui vous sont proposées. Cela inclut dire non à certaines opportunités, à certains anniversaires, et à la télévision.

Ma raison d’être et toute mon équipe, c’est de vous aider, vous les chefs d’entreprise, entrepreneurs, à devenir financièrement libres et épanouis sur le chemin.

La stratégie des 3 P

Retenez bien la stratégie 3P.

Planifier

Le premier P, c’est planifier. Avoir des objectifs clairs et précis. Vous devez vraiment être clair sur vos priorités. Quelles sont les une à trois choses qui vont générer le maximum d’impact dans les prochains mois et années ?
Ensuite, c’est de planifier cette top priorité dans votre agenda. Ce top 3 doit représenter 80 % de la planification de votre agenda.

Si vous faites cela, vous allez accomplir plus en un an que ce que vous avez accompli en 10 ans.

Se préparer

Le deuxième P, c’est se préparer. Préparez votre environnement pour éliminer toutes les distractions possibles. Un exemple frappant est celui d’Elon Musk, qui dormait régulièrement dans son bureau. Dès son réveil, il prenait une douche et plongeait directement dans ses tâches. Son organisation était impeccable, lui permettant d’être aussi productif que possible dès le début de sa journée. De même, préparez votre agenda et planifiez la communication avec les membres de votre équipe pour optimiser votre productivité au maximum.

Pratiquer

Le troisième P, c’est pratiquer. Atteindre ce niveau de concentration nécessitera de la pratique et de la discipline. Après des années à naviguer dans différentes directions, à être aussi changeant qu’une girouette et à être constamment interrompu par toutes sortes de sollicitations, il ne suffira pas d’appuyer sur un simple bouton “focus” pour que tout soit réglé comme par magie. Cela exigera de la persévérance et de la détermination jusqu’à ce que vous atteigniez votre objectif.

Lorsque vous vous engagerez à vous concentrer, il est fort probable que des distractions surviennent, comme des notifications. Même dans ces moments, il vous faudra retrouver votre concentration. Notre cerveau a tendance à choisir ce qui est le plus facile et le plus confortable, mais avec de la pratique et de la persévérance, vous pourrez entraîner votre esprit à rester focalisé sur vos objectifs malgré les distractions. Il faut arriver à vous focaliser sur une opportunité pendant 5, 10 ans. Vous êtes le maître de votre cerveau, ce n’est pas le cerveau qui est votre maître. Vous dites à votre cerveau ce qu’il doit faire. Vous devez entraîner votre cerveau à se focaliser. Si vous faites ça, le succès va devenir inévitable. Vous savez ce que vous devez faire, vous devez passer à l’action. L l’action est le pont entre les rêves et la réalité.

Appliquez la stratégie 3P.

Soyez persévérant, soyez patient, soyez bienveillant avec vous-même. Les résultats viendront avec le temps. Commencez par des choses simples, prenez un, deux ou trois points et commencez à les mettre en pratique dès maintenant. En augmentant votre niveau de concentration, vous accomplirez davantage.

Rappelez-vous, il ne s’agit pas seulement d’ajouter des tâches, mais surtout d’éliminer celles qui ne sont pas essentielles.

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